Altens dévoile un biocarburant moins émetteur de gaz à effet de serre

Altens dévoile un biocarburant moins émetteur de gaz à effet de serre
Descriptive text here

Issu de la transformation de l’huile de colza française, Le PUR100 à faible teneur en carbone est un biocarburant avec une capacité de réduction des gaz à effet de serre (GES) plus élevée que le B100 traditionnel, selon Altens.

Déjà, par rapport au diesel B7, il permet une réduction de 80% des émissions de GES tout en réduisant les polluants atmosphériques tels que les oxydes de soufre – SOx, les oxydes d’azote – NOx et autres particules fines.

Ensuite, en mettant en œuvre des pratiques agricoles plus vertueuses (par rapport à l’année de référence 2008) favorisant la séquestration du carbone dans les sols, ce nouveau biocarburant limiterait encore davantage les émissions de GES.

Une énergie bas carbone grâce à l’agriculture régénérative

Pour développer ce produit, la stratégie d’Altens s’inscrit dans une démarche plus large d’amélioration des pratiques agricoles..

En plus de son engagement en faveur d’un stockage accru du carbone dans le sol et des cultures intercalaires* plus court, le distributeur défend le mise en œuvre de techniques culturales simplifiées qui contribuent à moins de perturbations mécaniques du sol pour augmenter son activité biologique et donc sa teneur en matière organique.

Par exemple, l’introduction de couverts végétaux et la gestion des résidus de récolte sont des pratiques privilégiées par Altens. Ceci s’illustre au champ par, une fois le colza récolté, un reste de la plante laissé au champ restituant ainsi la matière organique au sol.

L’entreprise collabore en ce sens avec la start-up MyEasyFarm qui accompagne les agriculteurs dans la mise en œuvre de solutions régénératrices et plus durables, notamment avec sa plateforme MyEasyCarbon.

Le PUR100 bas carbone déjà adopté par un transporteur de chantier

Convaincu par les bénéfices environnementaux du nouveau produit lancé par Altens, l’entreprise des Transports Seine-et-Marnais (TSM), qui utilise depuis trois ans le traditionnel B100 dans 35 de ses camions, s’est déjà positionnée pour recevoir en avant-première le biocarburant.

Cette dernière lui permettra de réduire ses émissions de GES lors de ses activités de transport de vrac, de transport de granulats et autres constituants du béton prêt à l’emploi.

*intervalle d’environ 7 mois entre deux récoltes pendant lequel aucune culture n’est plantée.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Biden se moque de Trump en rejoignant le chef de Microsoft sur le site du Wisconsin
NEXT Résultats du repêchage de la LCF 2024 – Kevin Mital avec les Argonauts