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Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran et derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste au 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon aux pieds, il décide de couvrir principalement un sujet bien-aimé. un sport, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (la lutte).
Luis Enrique a ignoré les critiques en maintenant sa stratégie du « faux 9 » lors du choc contre Manchester City (4-2), mercredi soir. Une approche tactique saluée par Pep Guardiola, alors que l’entraîneur du PSG reste imperturbable face aux propos comme il l’a expliqué en conférence de presse.
Fan des « faux 9 », Luis Enrique a persisté mercredi dans son idée contre Manchester City (4-2). Gonçalo Ramos est resté sur le banc jusqu’à l’heure de jeu, tandis que Lee Kang-in, Bradley Barcola et Désiré Doué composé l’attaque de PSG. Un choix payant pour le coach espagnol, qui n’échappe pas aux habituelles critiques sur sa position sur le sujet.
-« Avec leur faux 9, ils ont réussi à avoir un joueur supplémentaire à ce poste »
Loin d’être un mauvais perdant, Pep Guardiola a salué la tactique de Luis Enrique, expliquant en conférence de presse : « Ils avaient plus de joueurs au milieu de terrain et c’est souvent là qu’on gagne des matchs. Nous ne pouvions pas gérer cela. Avec leur faux 9, ils ont réussi à avoir un joueur supplémentaire à ce poste. Ils ont gagné aujourd’hui, mais ils ont déjà joué des matches comme celui-ci. Je l’ai déjà vu. Nous ne pourrions pas être meilleurs aujourd’hui. J’aimerais dire le contraire, mais c’est comme ça. ».
“Je m’en fiche.”
Pep Guardiola a démocratisé cette tactique sans avant-centre pendant son séjour à FC Barcelonealigner Lionel Messi à cette position faux-9. Interrogé en conférence de presse sur le départ de son homologue et les critiques qu’il a reçues, Luis Enrique assure de ne pas s’en inquiéter. ” En vérité, je m’en fiche si ça lui plaît ou non et qui l’aime. Je fais mon travail du mieux possible, j’essaie d’utiliser mes joueurs selon ce que je pense être le mieux pour l’équipe. A partir de là, vu le monde dans lequel nous vivons, si vous ne voulez pas être critiqué, ne soyez pas un coach de haut niveau. C’est évident qu’il y a des critiques mais ça ne changera pas ma façon de faire. Je m’en fiche », a confié le sélectionneur, rapporté par CulturePSG.
