EN MÊME TEMPS (7). Il débute son match par un énorme arrêt devant Kroupi (8e) avant de voir Tosin flirter avec son poteau. Il sort rapidement devant Kroupi pour le gêner et faire rater la tête à l’attaquant. En seconde période, il s’est montré vigilant sur plusieurs tirs lointains, dont un bel arrêt de Ponceau (79e).
PIRE (7,5). Il a couru pour deux et a avalé les espaces pour quatre. Un torse énorme et un pied droit qui apportaient du danger, sans oublier de défendre avec justesse. L’arrière droit était proche d’ouvrir le score en captant un ballon aérien, mais Mendy le repoussait sur sa ligne (39e). Il aurait pu s’accorder une passe décisive, mais Cherni trouve le poteau (90’+2).
KOUASSI (8). Un match complet de sa part avec une majorité de duels gagnés et jaillissant. Il est récompensé de son premier but professionnel en reprenant un coup franc de Sellouki qui heurte le poteau (1-0, 66e). “Ils ont recruté beaucoup de joueurs offensifs, il a fallu beaucoup communiquer pour les obtenir”, » a déclaré le joueur à la fin du match.
TAVARES (7,5). Il savait jouer proprement lorsque le jeu l’exigeait et frapper des tirs lorsque cela était nécessaire. Son expérience, son vice, sa lecture du jeu et son leadership sont une bénédiction pour le Stade Laval. Il a brillamment pris le tango défensif face à la meilleure attaque du championnat.
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APPUI (7). Son positionnement en tant que défenseur central gauche, en l’absence de Bianda, était surprenant. Il semblait hésitant sur certaines interventions et prenait parfois des risques que le poste ne permet pas. Mais il a surtout éteint plusieurs ballons chauds.
CHERNY (7). Il continue comme titulaire après la Coupe de France et joue un match complet. Après avoir débuté le match en mode diesel, il a bien tenu son côté gauche et a montré qu’il avait du jus offensivement. Tout proche d’inscrire le troisième but après un gros raté et une frappe sur le poteau (90’+2).
SANNA (7). Travail de l’ombre et pression constante sur Kalulu pour l’empêcher de jouer. Il a bloqué le milieu de terrain pour empêcher Abergel de trouver la bonne passe.
ROYE (7). Le capitaine a une nouvelle fois mené son équipe dans un grand combat. Comme Sanna, il a verrouillé la salle des machines.
PULPE (6). Moins en vue offensivement, et pour cause, il a beaucoup sacrifié pour défendre.
ZOHI (6,5). Son match le plus régulier sous le maillot du Stade Lavallois malgré peu de danger. Il a contribué à créer du lien entre le milieu de terrain et l’attaque et a su donner de bons ballons. Bonnes idées et appels intéressants. Une tête non cadrée (10e).
TCHOKOUNTE (8). « À la mi-temps, il avait mal et voulait sortir. Après le premier but, il était énervé et voulait sortir. Il n’en faut pas plus que ces deux phrases d’Olivier Frapolli pour résumer l’importance de Malik Tchokounté dans cette équipe. Il était le premier défenseur, mais surtout un point d’ancrage important pour faire remonter le ballon. Il est récompensé de sa rencontre par un but après des passes de jambe et un tir du gauche (2-0, 87e). Sa frappe croisée n’est pas loin de finir dans le dos (55e).