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Titulaire d’un Master en droit international, j’ai réalisé à la fin de mon parcours universitaire qu’il était important d’évoluer dans un domaine que l’on apprécie. Du jour au lendemain, j’ai décidé de mettre un terme au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, de vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l’actualité sportive, en essayant de tenir les lecteurs informés au mieux.
Dans la lutte avec Gianluigi Donnarumma au PSG, Matvey Safonov doit aussi apprendre à composer avec son ex-femme, dont le conflit fait l’actualité en Russie. Elle réclame une pension alimentaire impayée après leur divorce. Une nouvelle étape vient d’être franchie puisqu’Anastasia Kazachek aurait demandé un examen psychologique du gardien parisien.
Matvey Safonov fait régulièrement parler de lui dans son pays natal Russieen raison de sa situation au PSG, mais aussi de la guerre qu’il mène avec son ex-femme. Un conflit qui s’est poursuivi sur un autre terrain, judiciaire. Anastasia Kazakhe réclamerait une pension alimentaire d’un montant de 60 millions de roubles, soit près de 627 000 euros. Cette série a débuté il y a plusieurs mois et un nouveau rebondissement a eu lieu. La jeune femme aurait demandé un examen psychologique du gardien parisien auprès des juges
Safonov envoyé chez un psychologue
« Baza (média russe) a écrit que j’avais demandé une évaluation psychologique pour Safonov à cause des deux buts marqués, mais c’est un mensonge. Il n’y a aucun lien de causalité entre les buts marqués et ma demande d’examen psychologique de Safonov. La raison de ma demande d’examen psychologique pour Safonov était le fait qu’il invente des déclarations pour avoir la moindre raison d’aller au tribunal ” dit Kazachek.
“Il a besoin d’une aide psychologique”
Selon elle, les propos et le comportement de Safonov sont incohérentes et méritent d’être examinées. “ En fin de compte, Safonov a perdu ses sept procès en 2024, mais trois autres de ses réclamations sont toujours pendantes devant le tribunal de Nikulinsky. Dix essais potentiels en 2024 sont la raison pour laquelle j’ai supposé que Safonov souffrait du syndrome de la chicane. Et le fait que ses paroles étaient en contradiction avec ses actes et ses problèmes d’estime de soi m’a amené à penser qu’il avait besoin d’une aide psychologique. » lâche-t-elle à Sports.ru. Reste à savoir si ce conflit va brouiller ses pensées lors de la rencontre avec Lentille ce dimanche.