C’est évidemment l’un des gros hits de l’été en France et même en Europe. Roberto De Zerbi, le technicien italien à l’énorme popularité lorsqu’il évoluait sur le banc de Brighton, s’est engagé avec l’OM au début de l’été. Un dossier qui semblait inaccessible mais que le club olympien est finalement parvenu à conclure pour lancer un projet dont il espère aboutir dans les trois prochaines années.
Dans les colonnes du Corriere della Sera, relayé par Eurosport, Pablo Longoria revient sur les coulisses de cette signature. « C’était à l’époque où je cherchais un technicien », se souvient-il. Un ami m’appelle et me murmure : « La semaine prochaine, De Zerbi quitte Brighton. Ne dis rien. Je raccroche et j’appelle Edo Crnjar, son agent, et je lui dis : “Je sais que c’est impossible mais je vais essayer.” Je l’ai convaincu avec transparence, avec passion et avec le projet. Roberto a suivi son cœur, je crois que l’enthousiasme de la ville et des supporters de l’OM, qui comptent 49 000 abonnés, a joué”, estime le président marseillais.
Longoria pensait que De Zerbi voulait un iPad mais…
Un Pablo Longoria qui raconte une anecdote savoureuse, où une mésentente entre le président et son entraîneur a donné lieu à une surprise XXL au centre de formation. « Un jour, il m’a demandé le budget pour acheter une carte électronique pour expliquer les schémas tactiques. J’ai répondu qu’il n’y avait pas de problème, persuadé qu’il aurait pris un iPad. Je me suis retrouvé avec un écran géant sur le terrain d’entraînement, comme ceux adaptés aux stades”, s’amuse encore aujourd’hui le président marseillais.
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Pour résumer
Pablo Longoria, le président de l’OM, a révélé dans la presse italienne une savoureuse anecdote sur les exigences de Roberto De Zerbi en termes technologiques. Avec visiblement une petite incompréhension entre les deux hommes.
