L’OL vendu déjà malade, Aulas remet les choses au clair

L’OL vendu déjà malade, Aulas remet les choses au clair
L’OL vendu déjà malade, Aulas remet les choses au clair

Accusé par certains supporters d’avoir mis à mal le club avant même la vente à John Texto, Jean-Michel Aulas a tenu à défendre son bilan sur les réseaux sociaux.

Le club rhodanien se porte mal, voire très mal, d’un point de vue financier. La semaine dernière, à l’issue de l’audience de mi-saison de la DNCG, le gendarme financier du football français a lourdement sanctionné l’OL. L’interdiction de recruter, et le contrôle de la masse salariale qui va avec, vont vraiment gêner les dirigeants lyonnais en janvier prochain lors du mercato hivernal. Mais c’est surtout la menace d’une descente en L2 qui fait le plus peur entre Rhône et Saône. Rétrogradé en Ligue 2 par mesure de précaution par la DNCG, Lyon devra trouver entre 100 et 200 millions d’euros dans les prochains mois pour éviter la chute libre. Si la situation économique difficile de l’OL n’est pas nouvelle, sachant que John Textor s’était déjà fait taper sur les doigts la saison dernière, la situation actuelle est critique.

« La situation économique de l’OL a toujours été exemplaire »

Mais alors à qui la faute ? Si le principal coupable est forcément Textor, sachant que c’est lui qui dirige le bateau lyonnais depuis 2023, Jean-Michel Aulas est aussi pointé du doigt par certains supporters lyonnais pour son implication dans la crise actuelle. Des accusations que l’ancien président de l’OL n’accepte pas vraiment. « La situation économique de l’OL a toujours été exemplaire. Cité en référence par l’UEFA, la LFP et la DNCG, l’autorité boursière et toujours validé par ses commissaires aux comptes. L’actif, tant matériel qu’immatériel, était exceptionnel. »a expliqué Aulas sur les objectifs financiers.

Pourtant, à de nombreuses reprises par le passé, l’OL avait été contraint de vendre ses meilleurs joueurs pour éviter de grosses pertes. Mais en même temps, Jean-Michel Aulas avait aussi créé certains atouts que John Textor n’avait pas tardé à dilapider, en dehors du stade.

 
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