Titulaire d’un Master en droit international, j’ai réalisé à la fin de mon parcours universitaire qu’il était important d’évoluer dans un domaine que l’on apprécie. Du jour au lendemain, j’ai décidé de mettre un terme au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, de vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l’actualité sportive, en essayant de tenir les lecteurs informés au mieux.
A 17 ans, Lamine Yamal a suivi les traces de Kylian Mbappé et Jude Bellingham en remportant le trophée Raymond Kopa, censé récompenser le meilleur jeune de l’année. Le joueur du FC Barcelone s’impose comme l’un des grands talents du Football mondial. Des qualités également repérées par le PSG, qui a tenté de le récupérer lors du dernier mercato.
Selon la presse espagnole, le PSG aurait prévu de lâcher près de 200 M€ pour se permettre Lamine Yamal cet été. Mais cette somme n’aurait jamais suffi à recruter le jeune prodige du football espagnol, dont le logo FC Barcelone est ancré dans son cœur. C’est sous le maillot de son club formateur que Yamal a remporté le trophée Raymond Kopa du meilleur jeune.
Les yeux du père de Yamal brillent
Lors d’un entretien accordé à France Football, son père a très vite détecté quelque chose de spécial chez son fils. ” J’ai vite compris que c’était une star, que ce n’était pas un être humain comme les autres. Dès son plus jeune âge, il y avait un ballon dans sa poussette. Il a appris à taper dans un ballon et à marcher. Ensuite, il s’est amusé à dribbler nos deux chiens, en confisquant le ballon pour ne pas se le faire mordre. C’est grâce à cela que tout lui a semblé facile lorsqu’il a commencé à jouer en club vers 3 ans et demi puis lorsqu’il a rejoint le Barça à 6 ans. confié Mounir Nasraoui.
Un destin à la Zidane ?
Depuis, les jeunesBouchons de Llobregat a bien grandi. Et son père n’hésite plus à le comparer aux plus grands comme un certain Zinédine Zidane. « J’ai toujours eu confiance en lui, je disais constamment à mes amis qu’il allait devenir le meilleur joueur du monde, qu’il était un pur diamant. Il doit rester le même, sur et en dehors du terrain, et se faire plaisir. Aujourd’hui, c’est un homme. Je lui ai dit ça l’autre jour et je n’ai pas pu retenir mes larmes. Je n’ai pas été surpris qu’il soit nominé pour le Ballon d’Or, on n’a vu que 20 % de ce qu’il peut faire. Pour moi, c’est un numéro 10, pas un ailier. Il a l’habileté et la mentalité pour jouer au milieu, derrière l’attaquant, comme Zinédine Zidane. Vous verrez. Je me frotte les mains en pensant aux Ballons d’Or qu’il va gagner… » a-t-il déclaré.