Le début de campagne du PSG en Ligue des Champions a été décevant, avec seulement quatre points en quatre matchs, compliquant sérieusement les chances de qualification directe pour les huitièmes de finale. Et même de qualification (pour les barrages), avec une élimination précoce qui serait une première sous l’ère qatarie et ternirait le nouveau projet entamé à l’été 2023, qui tourne le dos à la politique des stars pour privilégier une équipe plus jeune, collective et disciplinée. Malgré cette situation préoccupante, l’Equipe assure que la direction maintient sa confiance en Luis Enrique, perçu comme l’homme de la situation, et déjà prolongée jusqu’en 2027. Le président Nasser al-Khelaïfi a réaffirmé son soutien aux joueurs après l’Atlético, insistant sur la continuité. , contrairement aux changements intempestifs du passé.
Les Qataris sont beaucoup moins pressés
Ce changement stratégique vise à établir une identité de jeu claire et à permettre à une équipe jeune de mûrir, même si cela implique un déclassement temporaire. Doha, moins focalisé sur l’immédiateté des résultats après le Mondial 2022, observe avec une certaine distance, tout en réduisant ses investissements. Le club concède que certains ajustements pourront être nécessaires, notamment au niveau de l’expérience ou des joueurs de haut niveau, mais sans dévier de son cap. De son côté, Luis Enrique, conscient des attentes, reste néanmoins sur son objectif qui est de bâtir une équipe solide plutôt que de remporter des titres immédiatement. Combien de temps durera la symbiose entre le sélectionneur et le Qatar ?
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Pour résumer
Luis Enrique se retrouve face à une situation compliquée à gérer au PSG, avec la crainte d’une élimination précoce en Ligue des Champions qui poserait un défi. Pour autant, l’entraîneur parisien ne serait pas menacé quel que soit le scénario.
