Depuis le début du deuxième bloc et le retour de quelques blessés, la concurrence s’installe pour plusieurs postes au Stade Aurillacois. Comme à l’aile et à l’arrière où Bévia, Pieters et Papunashvili ont réalisé des performances remarquables à Mont-de-Marsan et enchaîneront face à Oyonnax, vendredi 1er novembre (19h30).
Absent des feuilles de match depuis le début du deuxième bloc, Axel Bévia a enflammé le match à Mont-de-Marsan, provoquant le premier essai. « À mon poste, comme à tous les autres postes, avoir de la concurrence apporte ce petit côté folie », assure-t-il. Nous voulons jouer le week-end suivant et faire de bons matches, donc c’est positif. »
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Idem pour Papunashvili, auteur d’un 100% au pied et précieux dans le jeu. Pareil pour Pieters, de retour de blessure, précieux dans son énergie. « Il y a des joueurs qui ont marqué des points, qui ont fait avancer l’équipe, comme Juun (Pieters, ndlr) qui est capable de chasser, de tacler, de se relever », décrypte Gontinéac.
Le coach voit l’infirmerie se vider avec satisfaction : « On a des retours et il y a une concurrence qui s’est installée et qu’on veut mettre en place. »
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Le message est bien reçu par les joueurs, comme Axel Bévia, qui a dû attendre lors de ce deuxième bloc avant de retrouver le terrain de Mont-de-Marsan : « Il faut se donner à 100% à l’entraînement pour être sur la feuille de match le week-end. . »
Dans cette logique de compétition, le staff a décidé de faire confiance aux joueurs vainqueurs à Mont-de-Marsan pour défier Oyonnax. Seuls Seunes et Burduli, blessés, ainsi que Welsch et Agostini ont quitté le groupe. Ils sont remplacés par Abzhandadze, titulaire, Oudard, Kartvelishvili et Nonkontwana, qui débuteront sur le banc. Le triangle arrière, qui a marqué tant de points, est à nouveau aligné.
Mathieu Brosseau
France
Rugby
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