Invité de C l’hebdo sur France 5, Nikos Aliagas a eu du mal à retenir ses larmes à l’évocation de son père Andreas, décédé il y a sept ans. Face à Aurélie Casse, l’animateur a rendu un bel hommage à celle à qui il doit « beaucoup ».
Pour le premier numéro de C l’hebdomadaire En 2025, Aurélie Casse a vu les choses en grand en accueillant de nombreux invités sur son plateau, à commencer par l’ancien braqueur François Troukens. L’ancien journaliste de BFMTV a également eu le plaisir d’accueillir le président de Leclerc, Michel-Edouard Leclerc, le présentateur Gilles Bouleau, l’avocat Benoît David, l’ex-voleur François Troukens, la journaliste de RTL Plana Radenovic, la reine de beauté Eve Gilles et Angélique Angarni. -Filopon, bouleversée depuis son refus de répondre à une question sur Charlie Hebdo.
Nikos Aliagas, qui dirigera la prochaine saison de La voixfigurait également parmi les invités de C l’hedbo diffusé samedi 11 janvier sur France 5. L’occasion pour l’animateur de Académie des étoiles pour honorer la mémoire de son père Andreas, décédé en mai 2017 des suites d’une maladie.
Nikos Aliagas ne peut retenir ses larmes en pensant à son père décédé il y a sept ans
Durant l’émission, Nikos Aliagas avait du mal à contenir ses larmes après un extrait d’une émission grecque du début des années 2000 dans lequel son père venait lui dire combien il était fier de sa carrière. « Tu sais, des fois je me dis : « Si ce garçon n’avait pas quitté son pays avec une petite valise et n’était pas arrivé à la gare de Lyon sans rien, rien »… C’est un enfant de la guerre, de la guerre civile, de la dictature. Et il vient ici, c’est un enfant et il n’a rien. Il dort sur un banc le premier soir en gare de Lyon.a-t-il d’abord confié.
“Vous n’imaginez pas le nombre de fois où je passe devant la Gare de Lyon, quand je regarde ce banc : “Je dis ouf, c’est grâce à vous, Monsieur Bench, que je suis là.” Parce qu’il voulait une vie meilleure. Il nous a appris à aimer la France viscéralement mais aussi à ne pas oublier nos racines. On peut faire les deux, l’un n’exclut pas l’autre. Et je lui dois beaucoup donc il me manque. Mais bon, c’est dans l’ordre des choses.
Nikos Aliagas : “Il est en moi comme une petite voix, comme une conscience, comme un regard protecteur”
Malgré son décès en mai 2017, Nikos Aliagas a déclaré que son père était constamment à ses côtés. “comme une petite voix”. “Quand tu perds un parent, c’est difficile mais tu as tes enfants, tu les regardes dans les yeux. Nous essayons, d’abord nous avons pardonné à nos parents tout ce que nous pensions être sérieux alors que c’était juste « Il a fait ce qu’il pouvait, comme nos parents l’ont fait ». Et nous essayons d’être meilleurs. Ce n’est pas facile tous les jours, il me manque.
« Mais en même temps il est en moi, il est en moi comme une petite voix, comme une conscience, comme un regard protecteur. Et quand il y a des moments où on est un peu assommé, on se dit : ‘Que dois-je faire? Dois-je aller à droite ou à gauche ? Et bien tu as son look comme ça qui dit “Cela n’a pas d’importance, mais faites-le bien”.“
Forte de son expérience dans plusieurs rédactions, Doriane est aujourd’hui une experte des sujets people, sans oublier la télévision et le cinéma, qui n’ont plus de secrets pour…