Ce n’est pas un secret : Delphine Colas est loin d’être une grande fan de Grenoble, sa ville natale. « J’ai passé toute mon adolescence dans cette ville. Puis, à l’âge de 23 ans, je suis parti vivre à Barcelone. Souvent, j’avais l’impression d’étouffer à Grenoble »a confié celui qui adore malgré tout « toute la nature autour de Grenoble. » et son « des paysages magnifiques ». « Ce que je n’aime pas, c’est le manque de magasins, de restaurants, de bars et de lieux culturels. La peur qu’on a en centre-ville le soir. J’ai peur de récupérer ma voiture sur un parking après un restaurant chez des amis car on a une chance sur deux de se faire agresser. C’est la partie que je n’aime pas.
Delphine Colas (Familles nombreuses) : “Je commence à me dire que c’est mieux de vivre à Barcelone”
Lors d’une séance de questions-réponses sur Instagram, Delphine Colas a dévoilé les raisons pour lesquelles elle considère « C’est mieux de vivre à Barcelone » qu’à Grenoble. “Quand je vois la catastrophe en France, je commence à me dire qu’il vaut mieux vivre à Barcelone“» a-t-elle déclaré en s’appuyant sur deux exemples précis. « Je vais vous donner l’exemple du marché de Noël. Pouvoir se promener en robe avec mes enfants à 22 heures dans les rues d’une grande ville. Profitez des attractions en toute sérénité dans une ambiance familiale : de jour comme de nuit avec cela que nous vivons chez nous. Le métro, c’est pareil : un vrai plaisir et un sentiment de sécurité totale. Alors oui, je sais que certains me parleront de pickpockets mais ce n’est pas comparable. foi et voyez à quel point c’est un désastre pour nous.»continua-t-elle. La mère de cinq enfants a néanmoins admis que Barcelone est loin d’être une option d’un point de vue professionnel.
« Votre enfant risque sa vie s’il sort le soir » : Delphine Colas dévoile tout ce qui l’agace à Grenoble
L’ancienne star de Familles nombreuses puis explique ce qu’il n’aime pas à Grenoble. “Quand on voit que Grenoble est littéralement dévastée, qu’on a un sentiment de malaise dans les centres commerciaux dès 18 heures, que les gens urinent dans les parkings, dans les ascenseurs, que les bibliobox sont saccagées, que tout est sale, que toutes les toilettes publiques sont littéralement impraticables, que votre enfant risque sa vie s’il sort le soir, que nos filles n’osent pas porter de jupes pour ne pas se faire insulter à l’arrêt de bus (…) Pourtant j’aime ma ville, mais honnêtement, ce n’est plus possible. Ce qui se passe est exagéré.“ Et pour conclure : « Ce qui me frappe vraiment, c’est le niveau de saleté. Vraiment, c’est littéralement écoeurant.
Article rédigé 6Médias