TF1 lance un nouveau jeu le 27 décembre 2024. Intitulé « Gladiators », il verra « des héros ordinaires affronter des athlètes extraordinaires ». Parmi eux, il y a un Suisse. Viking est joué par un Veveysan de 30 ans. Même s’il n’a pas dévoilé son nom pour rester dans le personnage, il s’est confié sur ce qui l’a motivé à participer à cette émission.
Qu’est-ce qui vous a motivé à participer à cette émission ?
C’est le concept en tant que tel car il comporte plusieurs facettes. Il y a l’aspect sportif avec de vrais événements et de vrais duels. Et il y a aussi un aspect plus secondaire. C’est vrai que les personnes musclées sont souvent catégorisées. J’ai aussi aimé que chacun joue son personnage. Cela montre que nous sommes au-dessus de la moyenne. Et pouvoir faire face à des gens, entre guillemets, des gens ordinaires, c’était assez intéressant.
Avez-vous choisi votre personnage ou vous l’a-t-il imposé ?
Nous ne pouvions donc pas choisir. Nous venons de faire le casting et ensuite ils ont annoncé nos personnages. Après, je pense que ça aurait été difficile pour moi d’être un autre personnage vu mon physique (il rit). Et Viking me convient plutôt bien.
Quel est votre principal atout pour cette compétition ?
Je pense que je suis l’un des gladiateurs les plus complets. Je suis assez grand et fort, mais je suis aussi très rapide et assez agile. Souvent quand on est grand et musclé, on perd malheureusement un peu de mobilité. Et j’essaie de m’entraîner à fond depuis pas mal d’années pour être le plus complet possible. Nous les appelons des athlètes hybrides. Vous pouvez littéralement tout faire. Sauf le grand écart (il rit). Je ne suis pas flexible, c’est mon seul défaut.
Vous n’avez vraiment pas d’autre point faible ?
On a tous des points où on est un peu moins fort. Je pense que je suis un athlète très complet. Après, je n’aime pas perdre (il rit), mais ce n’est pas un point faible.
Est-ce que rivaliser avec des gens ordinaires signifie se préparer à la compétition différemment que contre des athlètes d’élite ?
Honnêtement, nous nous sommes tous préparés comme si nous allions affronter des athlètes d’élite. Bien sûr, il y avait des gens ordinaires, mais il y avait aussi des gens très sportifs. Être confronté à des challengers avec un très bon physique a rendu le spectacle intéressant et excitant.
Le sport vous a toujours fasciné ?
Oui, depuis que je suis petite ! J’ai commencé le football et le ski alpin à l’âge de 5 ans. J’ai réalisé de belles courses dans les deux disciplines. Quand j’avais 18 ans, j’ai commencé à m’entraîner. Je suis allé en Angleterre où la philosophie du fitness n’est pas la même qu’en Suisse. J’y ai pris goût. Au début, j’étais très concentré sur l’aspect esthétique. Puis j’ai réalisé que ce n’était pas seulement ça. Et depuis, j’essaie d’être le plus complet possible. J’ai aussi toujours eu une mentalité où je ne voulais pas forcément être comme tout le monde, mais être plus. Cela fait partie de moi.
Quelle est votre routine sportive quotidienne ?
J’ai des programmes assez stricts, mais ensuite je fais un peu ce que je veux. Je ne suis pas un bodybuilder avec un programme à suivre à la lettre. Après, il y a une régularité car ça reste de s’entraîner six jours par semaine, voire parfois tous les jours. Parfois, lors de mon jour de repos, je fais du cardio. Je n’ai donc pas de routine vraiment stricte.
“Dans chaque épisode, huit challengers – quatre hommes et quatre femmes – s’affronteront à distance en se mesurant aux Gladiators dans quatre matchs XXL”, explique TF1 dans un communiqué. L’objectif : marquer le plus de points pour avoir un avantage lors d’une épreuve finale. Les meilleurs se qualifieront pour la grande finale. A l’issue de celle-ci, un homme et une femme « remporteront le prestigieux casque doré, symbole du respect éternel des Gladiateurs, et se partageront la somme de 50 000 euros ».