Tel père, tel fils ! A 19 ans, Léon Hesby choisit de suivre les traces de son illustre père. Le fils d’Amanda Sthers et Patrick Bruel a en effet décidé de se lancer dans une carrière musicale. En 2023, le jeune homme annonce la sortie de son premier single, non sans un certain succès. Auparavant, il avait fait ses premiers pas au cinéma devant la caméra de sa mère, avec qui il était parti vivre aux Etats-Unis alors qu’il n’avait que onze ans. Le chanteur a donné son premier concert à Los Angeles il y a quelques jours sous le regard fier de son père et de sa mère.
Léon Hesby tient à rendre son père fier de lui
Dans les colonnes du magazine GalaLéon Hesby révèle que la passion pour la musique l’accompagne depuis l’âge de 10 ans et que ses parents le laissent vivre ses rêves. « Mais pendant toutes ces années, je n’ai subi aucune pression de la part de mes parents, hormis celle du travail. C’était mon choix. Je voulais juste ne pas les décevoir »il se félicite. Dans Fauxle fils de Patrick Bruel évoque son histoire et le soutien inconditionnel qu’il a reçu de leur part lorsqu’il a choisi de se lancer dans la musique. «Je raconte mon histoire et tout ce que j’essaie de bien faire. Cette envie d’être aussi le plus grand pour que mon père puisse être fier de moi. C’est mon rêve. Mon père m’a toujours soutenu, tout comme ma mère”, souligne-t-il. Léon Hesby adresse également des paroles à l’écrivain dans ce titre, qui ont suscité son émotion lorsqu’il l’a chanté sur scène. Cette chanson est aussi une réponse à ceux qui l’ont attaqué sur les réseaux sociaux à ses débuts, dénonçant le fait qu’il était « un fils de ». « J’ai utilisé cette haine des gens, d’une minorité heureusement, et je l’ai transformée. J’ai maintenant à cœur de leur montrer qu’ils ont tort. Je travaille beaucoup pour ça», proclame-t-il. Il rappelle que si son père l’aide, il ne “ne rendra jamais les choses plus faciles.”
Quelle est l’origine du pseudonyme de Léon Hesby ?
Dans cette interview, Léon révèle l’origine de Hesby, son pseudonyme. « Je dois avancer sur mon propre chemin et donc, je ne voulais pas porter le nom de Bruel. S pour Sthers et B pour Bruel. Ce sont les deux lettres qui structurent mon nom”il explique. Il entend en premier “exister aux Etats-Unis avant d’arriver en France”. « Si j’allais dans le sens inverse, je serais décrit comme le fils de… Ce n’est pas mon plan. Je veux d’abord me faire un nom ici »conclut-il.