Vous avez peut-être remarqué qu’Yvan Attal, qui donne la réplique à Pierre Arditi dans Maestro(s)film diffusé ce lundi 23 décembre 2024 à 21h05 sur France 3, a une particularité physique. A savoir sa paupière tombante. Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, il n’est pas né ainsi. Le compagnon de Charlotte Gainsbourg, avec qui il a eu trois enfants (Ben, Alice et Jo), a révélé l’origine de cette anomalie sur le tournage de Bonjour les Terriensen 2014. “J’avais une tumeur, une tumeur à la gorge et j’ai été opérée. J’ai endommagé un petit nerf, le nerf sympathique qui maintient la paupière, et ma paupière est tombée.“, il a expliqué.
Dans la foulée, Yvan Attal a indiqué que la partie de son corps qu’il déteste le plus est «ses mollets. Il a également confié qu’à l’oreille, il «et est”son lobe étant divisé en deux. A noter qu’il n’est pas le seul à s’être confié sur ses défauts physiques. Charlotte Gainsbourg, la femme qu’il aime, l’avait également fait.
Yvan Attal et sa peur de la maladie
Face aux journalistes du magazine Psychologiesencore en 2024, elle a révélé la raison pour laquelle elle ne se maquille pas : « Tout simplement parce que j’essaie de faire au mieux pour moi et quand je me maquille beaucoup je suis très très moche ! A ce niveau, je me connais« . La question du vieillissement se pose alors et Charlotte Gainsbourg le déclare à ce sujet : «C’est très difficile d’accepter son âge à une époque où “ça ne se fait pas”, puisque dans les magazines tout le monde trouve normal d’effacer ses rides.»
Revenant sur Yvan Attal, rappelons qu’il est également connu pour son hypocondrie. “Avant de m’endormir avec mon pouce sur mon pouls, je devais entendre mon pouls… Quand je faisais une analyse, de sang par exemple, Je l’ai fait dans 2 endroits très éloignés de Paris pour qu’ils ne se donnent pas la parole et j’ai comparé pour voir si c’était les mêmes chiffres etc… Donc c’est vraiment n’importe quoi », il l’a dit à Mouloud Achour dans Clique l’année dernière. Un problème qui s’atténue cependant avec le temps : «Mais je le suis moins maintenant, j’ai suivi un traitement, un peu…“