Être parent n’est pas toujours une tâche facile. Et Frédéric Lopez en sait quelque chose ! Pour cause, lors d’interviews ou encore lors de certains enregistrements deUn dimanche à la campagneil évoquait régulièrement la relation conflictuelle qu’il entretenait avec son père. “C’est vrai que j’avais très peur de mon père. Il n’a jamais fait de compliments. Quand j’étais enfant, il m’a traité de “bon à rien” et quand nous sommes enfants, nous le croyons», confiait-il encore en janvier dernier. Alors très marqué par sa propre enfance, l’animateur de 57 ans a donc toujours idéalisé le jour où il serait, à son tour, père. Cependant, comme il l’a récemment confié à Télémagil n’est pas devenu le père idéal qu’il espérait…
Frédéric Lopez encaisse sa paternité : «Je pensais que je serais un meilleur père“
Le fils de Frédéric Lopez, Victor, est né alors que l’animateur avait 30 ans. Ce dernier tenait bien entendu à être un père parfait. Pourtant, comme il l’a confié à nos confrères, sa propre enfance a indéniablement marqué sa propre paternité. “Je pensais que je serais un meilleur père »a-t-il assuré. « Évidemment, ce n’était pas parfait. Chacun s’adapte avec son propre bagage et ses névroses.» Mais, selon ses révélations, après un long travail d’analyse, Frédéric Lopez a enfin pu trouver un juste milieu. Et aujourd’hui, il peut se féliciter d’être un père à l’écoute des besoins de son enfant. “J’ai un lien avec mon fils que je n’avais pas avec mon père au même âge», a-t-il poursuivi. Un accomplissement dont il est, sans l’ombre d’un doute, très fier.
Frédéric Lopez marqué par son enfance : l’animateur a réussi à pardonner à son père
Toujours lors de son entretien avec TélémagFrédéric Lopez s’est souvenu de quelques souvenirs de son enfance. Quand il était jeune, son père l’humiliait souvent. Ce qui l’incitait alors à le craindre. “J’avais peur de mon père. C’était quelqu’un de sévère, de mystérieux, qui ne parlait pas de ses émotions et ne faisait pas de compliments.», a-t-il révélé. Un comportement qui lui était très étrange mais qu’il a finalement réussi à pardonner. “J’ai beaucoup d’affection pour mon père car je sais qu’il a vécu pire [que moi]“, a-t-il alors concédé, calmé.
Article rédigé avec la collaboration de 6Médias.