Un hommage poignant. Léa Salamé et ses acolytes ont accueilli, samedi 15 juin dans « Quelle époque », les comédiens Dany Boon, Laurence Arné, Bérénice Bejo et Tomer Sisley, les musiciens M, Thibault Cauvin et Agustin Galiana, et l’écrivain Gaël Tchakaloff.
“Elle sera plus calme là où elle est”
Lors de l’émission, la mort de Françoise Hardy, décédée le 11 juin dernier à l’âge de 80 ans, a bien évidemment été évoquée. “Christophe, parce qu’on est dans la musique, tu voulais me dire un petit mot je sais...», a lancé Léa Salamé. Ce à quoi Christophe Dechavanne a répondu : «Ah, je ne suis pas la seule… La disparition, le départ – mais enfin pour elle j’allais dire – de Françoise Hardy était une triste nouvelle. Et en même temps très soulageant pour elle car elle en profitait vraiment depuis plusieurs années. Et voilà, elle sera plus calme là où elle est. Mais ça m’a rendu incroyablement triste« .
Sur le plateau de France 2, l’animateur qui a défrayé la chronique a poursuivi : «Cela fait mal à beaucoup de gens. Et j’ai vu une note d’Etienne Daho sur Instagram qui était magnifique puisqu’elle l’a accompagnée jusqu’au bout. Je voulais dire ici à toute sa famille, notamment à son petit Thomas que je ne connais pas, combien le départ de Françoise que j’aimais énormément, que j’ai connue il y a très longtemps, avec qui j’avais une petite relation lettre écrire ces dernières années…« .
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Toujours au sujet de la star à qui l’on doit des titres inoubliables comme « Le temps de l’amour », « Comment te dire adieu », ou encore « Tous les garçons et les filles », Christophe Dechavanne a précisé : «De toute façon, elle ne voulait plus qu’on la voie, elle ne voulait plus qu’on parle… C’était une artiste extraordinaire, elle a marqué mille choses, que ce soit son art musical, que ce soit ses vêtements – c’était une vraie prescripteur, notamment en Angleterre dans les années 60 et 70. C’était une femme merveilleuse qui était devenue un peu plus dure, disons politiquement, ces dernières années. Mais qui était extraordinaire, vraiment extraordinaire« .
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