Le reste après l’annonce
Invité de l’émission Ça commence aujourd’hui le 18 octobre 2024 sur France 2, Denis Westhoff s’est souvenu de son enfance auprès de sa mère, l’écrivaine Françoise Sagan. Fils unique de l’auteur de l’ouvrage Les merveilleux nuages, il a parlé très de sa jeunesse »jovial” et “joyeux” parmi les nombreux amis de sa mère
“L’ambiance à la maison était très facile, très drôle car il y avait beaucoup de connaissances, d’amis, de relations, des gens formidables, des gens très drôles., des gens comme Robert Hirsch, il y a Michel Serrault qui est venu aussi. J’ai rencontré beaucoup de gens, il y avait des gens vraiment drôles, elle choisissait ses amis parmi les gens pleins d’esprit. Si tu veux, c’est important pour elle que les gens soient pleins d’esprit, drôles, elle préfère avoir des gens fauchés avec qui elle rit que des gens riches avec qui elle s’ennuie» a confié l’écrivain.
Je n’avais pas du tout l’impression de vivre avec une star.
Nostalgique des moments passés avec sa mère décédée le 24 septembre 2004, il explique ne pas avoir su depuis longtemps que sa mère était célèbre. Sur le plateau de France 2, il se souvient : «J’ai l’image d’une enfance tout à fait normale, complètement apaisée, complètement calme, c’était une mère complètement attentive, présente et soucieuse de mon éducation et de ma façon de vivre. Je n’avais pas du tout l’impression de vivre avec une star, en plus, elle faisait tout pour que j’aie une enfance normale, elle veillait à ce que personne ne sache qui j’étais. j’étais à l’école, j’étais un petit garçon comme les autres« .
Enfant, Denis Westhoff ne savait pas que sa mère était célèbre
Le petit garçon a soudain pris conscience de la notoriété de sa mère lors d’un tournage réalisé dans leur maison alors qu’une chaîne de télévision était venue chez eux. “Ils sont arrivés à l’appartement et à ce moment-là, les caméras étaient gigantesques, les projecteurs, il y avait de gros câbles qui couraient partout dans la maison. Et là je pense avoir pris conscience de l’importance de son image, de sa notoriété plutôt» a-t-il révélé avec tendresse.
