Lady Marina Windsor, princesse de la mer

Lady Marina Windsor, princesse de la mer
Descriptive text here

Arrière-petite-fille de George V, elle porte le prénom de sa sublime grand-mère, Marina de Grèce, duchesse de Kent. Passionnée d’écologie, Lady Marina Windsor a décidé de se consacrer à la sauvegarde des océans.

“C’est un tel privilège de voyager et de pouvoir voir de beaux endroits dans le monde et à quel point cette planète est formidable. Voyager vous encourage à vouloir protéger les personnes, les animaux et la nature de notre planète. Récemment interviewé en exclusivité par le magazine Bonjour !Marina n’a pas caché ses craintes pour l’avenir : « Nous sommes actuellement confrontés à une crise climatique et il est urgent d’essayer de protéger la planète, nos océans et les uns les autres si nous voulons une planète sur laquelle vivre les générations futures. Nous devons prendre des mesures sérieuses.

Deuxième enfant de George, comte de St Andrew, et de Sylvana Tomaselli, Marina Charlotte Alexandra Katharine Helen est née le 30 septembre 1992 à Cambridge, où sa mère enseignait l’histoire. Elizabeth II était la cousine germaine de son grand-père paternel, Edward Duke of Kent. Cependant, après sa conversion au catholicisme romain – avec son frère aîné Edward Lord Downpatrick – elle perdit ses droits au trône, sous laActe de règlement de 1701. Parmi ses ancêtres, on retrouve bien sûr des Britanniques, mais aussi des Canadiens, des Autrichiens, des Français, des Italiens, des Allemands, des Grecs, des Danois… Un tel héritage a dû lui donner le sens de l’universalisme et le goût du voyage. Après un internat à la St Mary’s School d’Ascot, une crèche pour jeunes filles de l’aristocratie, Marina poursuivra des études en langues vivantes à l’université d’Édimbourg, ce qui lui permettra d’effectuer des stages en et au Brésil.

Sauvons les océans

En 2010, à l’âge de 18 ans, elle joue comme mannequin dans les pages de Tatler pour plaire au créateur de mode Hardy Amies, mais ne songe guère à poursuivre une telle carrière. Elle envisage alors la diplomatie et une carrière à l’ONU, même si elle reconnaît que la concurrence est rude. En fait, elle renoncera alors à ce projet, mais pas à sa passion pour les relations internationales. On la verra à Florence, au festival New Generation, ou encore en Thaïlande, où elle s’essaye à la boxe Muay Thai.

Lire aussi >> Lady Amelia Windsor collabore avec une marque de cachemire

Si elle rejoint la rédaction du magazine en 2021 Vogue, pour se lancer dans le journalisme, sa fibre humanitaire n’est pas nouvelle. Elle a d’abord travaillé pour Big Give, une organisation à but non lucratif qui met en relation donateurs et organisations à la recherche de financement. Depuis, elle rejoint sa cousine Eugénie d’York et sa sœur cadette Amelia (« Nous sommes les meilleures amies et sommes très proches ») dans leur combat pour la défense des océans, au sein de la Blue Marine Foundation. Les objectifs de cette ONG sont ambitieux : parvenir à ce que 30 % des espaces marins soient placés sous protection effective d’ici 2030, et que le reste soit géré de manière responsable. La Fondation Blue Marine lutte donc pour restaurer les habitats et contre la surpêche en développant des modèles de pêche durable.

Marina ajoute, dans son entretien avec Bonjour ! : « Cela correspond à mes valeurs car j’ai une passion pour tout ce qui touche à l’environnement et à la planète. J’ai toujours voulu travailler dans un endroit qui se consacre à contribuer à atténuer la crise climatique. J’ai tellement appris depuis que je suis ici, et je suis entouré d’incroyables biologistes marins et de gens brillants qui protègent les océans, je pense. nous voulons tous aider à notre manière, n’est-ce pas ?

« La mode jetable est incroyablement destructrice »

Mais l’engagement environnemental du petit cousin de Charles III ne se limite pas au grand large. Celle qui a failli devenir mannequin milite désormais pour une « mode éthique » : « La mode jetable est incroyablement destructrice pour notre planète. J’essaie d’acheter des marques durables dans des boutiques caritatives ou vintage, et j’emprunte souvent des vêtements à des amis. C’est vraiment une bonne chose à faire. C’est ce que mes amis et moi essayons de faire beaucoup plus. Et portez simplement les choses plus longtemps et achetez moins de choses, consommez moins lorsque cela est possible. .» Sa mère, Sylvana, soutient également sa fille dans sa « croisade » en faveur d’un style éco-responsable : « Je pense que la génération précédente prenait soin de ses vêtements, assure Marina. J’essaie de faire pareil. ma mère a encore quelques vêtements en parfait état qu’elle portait quand elle avait 20 ans. J’ai la chance qu’elle me prête très généreusement ses affaires. Elle a un grand sens du style.

Très proche de sa famille, à 31 ans, Marina partage le quotidien de ses « incroyables grands-parents », le duc et la duchesse de Kent, qui occupent Wren House, une dépendance du palais de Kensington, à Londres. C’est ici son port d’attache, où la jeune femme aime se ressourcer et cultiver ses racines. Même si l’appel de l’aventure ne tarde jamais à se faire entendre. Elle envisage de visiter prochainement l’Islande, la Mongolie, l’Indonésie et les Philippines… sans doute avec son compagnon, l’ébéniste écossais Eion Gibbs, également globe-trotter qui, pendant 10 mois en 2014, a traversé l’Europe en auto-stop, de Hook van Holland à Istanbul.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

NEXT « HPI », Audrey Fleurot annonce la fin de la série avant de faire « une saison de trop »