Sophie Grégoire Trudeau aime toujours Justin Trudeau

Sophie Grégoire Trudeau aime toujours Justin Trudeau
Descriptive text here

L’ancienne première dame du Canada Sophie Grégoire Trudeau dit aimer toujours son ex-mari, le premier ministre Justin Trudeau, mais leur relation a été « restructurée » d’une autre manière.

Celui qui lance le livre ces jours-ci Entre nous : mieux se connaître, mieux s’aimer – elle est sur tous les plateaux ces jours-ci – s’est confiée Marie-Claude Barrette sur son podcast Ouvrez votre jeuépisode qui a été dévoilé lundi.

“Je pense que quand on est deux êtres humains qui s’aiment encore, ce qui est le cas, qui se respectent encore, c’est le cas, transformer une relation est un signe d’amour quand cela signifie qu’on peut libérer l’autre sur leur chemin, tout en les aimant. Mais cela demande du courage, cela demande une communication ouverte, cela [demande] être capable de nous dire nos vérités et cela demande des efforts. Ça fait mal”, a-t-elle confié lors de ces 96 minutes d’entretien émaillées de moments de réflexion et d’instants touchants.

“[…] Dans une relation, il arrive un moment où on se pose la question : qu’est-ce qu’on fait ? Selon nos chemins de vie, que faisons-nous ? Mais nous sommes convaincus que dans une société comme la nôtre, quand le succès signifie mariage, et la séparation ou le divorce signifie échec – et que la vie se passe essentiellement entre les deux –, mais quand nous sommes si restreints dans le vocabulaire qui nous est attribué pour parler de nos relations, je pense que nous associons une transformation, une restructuration d’une relation à la fin complète de quelque chose. Je ne suis pas d’accord.”

« Il y a comme un cercle de feu, comme au cirque, c’est ma métaphore : si je saute par là, non seulement ça va me brûler et me faire mal, mais je ne sais même pas où je vais atterrir. Mais ce risque, quand on se connaît assez bien, on se dit : « Ce n’est pas grave, je vais avoir raison de l’autre côté parce que j’ai confiance en la vie, j’ai confiance en moi. J’ai assez d’estime de moi, j’ai assez de respect pour moi-même, j’ai assez de preuves d’amour autour de moi, fais confiance, vas-y, saute ! Souvent, de l’autre côté, il y a de l’herbe, ce ne sont pas des pointes qui vont vous transpercer les pieds. Mais nous devons prendre ces risques.

CAPTURE D’ÉCRAN / AGENCE QMI

Lorsque leur séparation a été annoncée en août dernier, Sophie Grégoire Trudeau et Justin Trudeau ont retrouvé leurs trois enfants. Ils ont mis fin à 18 ans de mariage.

« Je suis fière, et ça me touche de le dire, car je sais que mes enfants voient et se nourrissent de notre dynamique, malgré une restructuration. Ils voient l’amour qui règne encore. C’est l’héritage émotionnel que je veux leur laisser car la vie n’est pas facile, et si un jour ils tombent face contre terre et qu’ils souffrent, dans une relation, ils sauront qu’il est possible de se restructurer tout en préservant la beauté et histoire d’une relation. Mais cela demande de la maturité et de la patience.

Elle a également évoqué les menaces et les critiques constantes contre sa famille, le prix du service public à l’ère des réseaux sociaux et de l’information 24h/24 et 7j/7.

“J’ai dû revoir comment mon corps réagissait au stress, j’ai dû faire attention, j’ai dû mettre de la distance entre les critiques constantes et qui nous sommes, qui je suis, qui est mon partenaire, qui sont mes enfants, pour me rassurer, parce que sinon tu te laisses tromper.

Elle dit avoir réalisé que rien ne lui était personnel. “Les gens ont une perception erronée de la réalité, c’est grave par exemple, nous devons travailler au changement en tant que société, cela nous menace à tous points de vue.”

« J’ai créé une distance, j’ai compris que ce qui se passait dans mon quotidien était bien plus réel que ce qui pouvait m’effrayer de l’extérieur. Que la majorité des gens ne me veulent aucun mal et que je suis en sécurité. Et que dans le contexte où j’ai besoin de sécurité, la sécurité est là, et nous sommes protégés. Au-delà de ça, je ne peux rien contrôler.

On a aussi parlé de lâcher prise lors de la conversation avec Marie-Claude Barrette, de courage, d’amour-propre, de troubles alimentaires et de santé mentale, des thèmes chers à M.moi Grégoire, qui se dit « amoureuse de la vie » et a beaucoup travaillé sur elle-même.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Marc Jolivet parle de sa passion pour Aix-en-Provence
NEXT Dans ses mémoires, Adriana Karembeu raconte les violences qu’elle a subies de la part de son père