« Lola », le film réalisé par Nicola Peltz-Beckham, est complètement détruit par la critique

« Lola », le film réalisé par Nicola Peltz-Beckham, est complètement détruit par la critique
Descriptive text here

Lola, c’est le titre du premier film réalisé par Nicola Peltz-Beckham et sorti aux Etats-Unis en février. Si le film n’a pas fait vibrer le box-office malgré une avant-première en grande pompe avec toute la famille Beckham (et même Elon Musk) sur le tapis rouge, les critiques sont visiblement tombées de leur chaise en le visionnant.

Au-delà du film en lui-même, c’est surtout la démarche de l’héritière, fille du milliardaire Nelson Peltz, qui ne passe pas. En plus de la réalisation, l’épouse de Brooklyn Beckham incarne Lola James, une strip-teaseuse de 19 ans qui “a du mal à économiser suffisamment d’argent pour permettre à son petit frère, Arlo, de quitter leur maison toxique”, précise le synopsis. La jeune femme va finalement « sombrer dans la toxicomanie » mais « l’espoir que la vie d’Arlo soit plus belle que la sienne » la maintient en vie « jusqu’à ce qu’une nuit tragique vienne bouleverser son univers. »

Pour Kady Ruth Ashcraft, critique du quotidien britannique Le gardien qui se l’est infligé, Lola est un exemple insupportable de « pornographie de pauvreté ».

Rien à garder

« Si un bébé nepo fait un film ridicule illustrant ce qu’elle imagine probablement être les difficultés des classes défavorisées, mais que presque personne ne le regarde, cela va-t-il nuire à sa carrière ? », demande Kady Ruth Ashcraft dans son article. « Nicola Peltz-Beckham a réalisé quelque chose avec Lola : c’est ce qu’on appelle du « porno de pauvreté ». Et au cinéma, cela signifie l’exploitation des conditions de pauvreté à des fins de divertissement et de reconnaissance artistique. »

Mais au-delà de l’intention, la critique met en avant un film pétri de clichés et formellement insipide. Et il est difficile de nuancer avec quelques avis divergents tant le film ne semble pas avoir été vu. Seuls deux téléspectateurs vérifiés ont commenté RottenTomatoes et leurs critiques ne sont pas aimables.

Bref, il sera encore temps de voir (et de détester) la fille de ce milliardaire jouer au white trash lors de la sortie du film en streaming. Propriétaire de près de 2% de Disney via son fonds d’investissement Trian Partners, Nelson Peltz saura sûrement convaincre pour que le travail de sa fille bien-aimée soit reconnu !

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Adriana Karembeu déchirante en ce jour où elle pensait perdre sa fille
NEXT Dans ses mémoires, Adriana Karembeu raconte les violences qu’elle a subies de la part de son père