Michel Barnier veut incarner « l’espoir » pour la France

Michel Barnier veut incarner « l’espoir » pour la France
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« Il n'y a aucune ambiguïté », a-t-il assuré. Le Premier ministre Michel Barnier a affirmé qu'il serait « à l'écoute de tout le monde » et qu'il souhaitait incarner « l'espoir » pour la France, dans un entretien au JDD paru dans l'édition de ce dimanche 8 septembre, et de ce samedi dans sa version numérique.

« Je viens d'en bas, il n'y a pas d'ambiguïté », a-t-il répété à trois reprises devant les journalistes, quelques heures après avoir prononcé https://twitter.com/BFMTV/status/1831743610569596956?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1831743610569596956%7Ctwgr%5E96fe51d041a359f93f04b40ce4067bf3dcb2e4cb%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.huffingtonpost.fr%2Fpolitique%2Farticle%2Fmichel-barnier-parle-des-gens-d-en-bas-lors-de-la-passation-de-pouvoir-et-ulcere-la-gauche_239249.html lors de la passation de pouvoir entre lui et Gabriel Attal, le jeudi 5 septembre.

Lors de son discours, le nouveau chef du gouvernement avait appelé au « respect » des idées et des solutions apportées par « les gens d’en bas ». Une déclaration qui avait été huée et jugée « méprisante », notamment par la gauche.

Dans cette nouvelle interview, le ton est différent et le Premier ministre répète la formule « je suis d’en bas ». « J’écouterai tout le monde. Ces gens ont des idées et en ont marre que ça vienne d’en haut », déclare-t-il.

« Il faudra que ça bouge ! », promet aussi Michel Barnier, qui aborde cette mission avec « le calme des vieilles troupes », même s’il reconnaît que le chemin est escarpé : « C’est le moment où tous ceux qui veulent que la France avance doivent retrousser leurs manches ».

« Il n’y a pas d’étape où je n’aie appris quelque chose (…) Aujourd’hui, je suis préoccupé par le service. Après, on verra »…, poursuit-il, souhaitant « élever l’horizon, individuellement pour chacun, collectivement pour la France ».

Tout juste nommé à Matignon, Michel Barnier a été critiqué samedi par la gauche, qui a appelé à manifester dans des dizaines de villes pour dénoncer « un coup de force », et par le Rassemblement national, qui a indiqué placer le nouveau Premier ministre « sous surveillance ».

Article original publié sur BFMTV.com

 
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