Appel à l’inclusion de mères célibataires

Appel à l’inclusion de mères célibataires
Appel à l’inclusion de mères célibataires

L’Alliance associative des droits des mères célibataires et de leurs enfants au Maroc exprime certaines réserves à l’opinion du Conseil supérieur des Ulemas concernant les réformes révélées dans le projet de révision du code familial. Selon l’Alliance composée de dix associations: cette opinion reflète une absence de «gravité, sagesse et considération positive des propositions relatives aux droits des mères célibataires et de leurs enfants en tant que familles autonomes».

Victimes d’oppression et d’intimidation, mères célibataires, perçues comme «pêcheurs éternels», Suivez à la fois le camion de responsabilité et le jugement. Pour l’alliance associative des droits des mères célibataires et de leurs enfants au Maroc, ce poste constitue «Une injustice flagrante envers ces mères et leurs enfants, niant leurs sacrifices pour une réforme équitable et conformément aux engagements internationaux du Maroc». Le Royaume a cependant ratifié les principales conventions telles que la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDAW) et la Convention sur les droits de l’enfant, qui exhortant à respecter les droits fondamentaux et l’égalité.

Composé de dix associations nationales, le collectif déplore «Exclusion totale des propositions«Qu’il a formulé, qui visait à reconnaître Explicitement les droits des enfants nés du mariagey compris le droit à l’identité et à la filiation, à travers des tests génétiques libres et obligatoires.

L’alliance a également revendiqué une révision de la définition de la famille Inclure des familles uniques dirigées par des mères célibataires. Elle a également appelé pour assurer l’égalité des droits à tous les enfantsQuel que soit le statut de leur famille et les protéger de toute stigmatisation sociale.

Ainsi, l’entreprise peut garantir la protection juridique et sociale pour les mères célibatairesen particulier en exigeant les soins financiers et de santé par le père biologique.

Le refus d’intégrer les tests génétiques comme preuve de filiation, comme recommandé par le Conseil supérieur des Ulemas, constitue, selon le dicton de l’alliance associative, un refus des droits des enfants abandonnés ou nés du mariage. Cette position contredit les meilleurs intérêts de l’enfant, inscrits dans la Constitution marocaine (article 32) et dans les conventions internationales ratifiées par le Royaume.

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Malgré cette situation, l’alliance confirme sa confiance dans les principes énoncés dans le communiqué de presse du Cabinet royal. “” “Ce dernier a réaffirmé l’importance des valeurs de la justice, de l’égalité, de la solidarité et du respect des conventions internationales. L’appel aux consultations citoyennes et le développement d’un cadre législatif clair et inclusif sont perçus comme une opportunité de dialogue constructif»Explique l’alliance.

Pour ce faire, l’alliance recommande d’organiser des consultations publiques Impliquant des enfants abandonnés et des mères célibataires pour mieux comprendre leurs besoins et leurs attentes. Elle suggère également rÉconomique la filiation via des tests génétiquesConsidéré comme des preuves scientifiques essentielles et la rendre à une utilisation obligatoire en cas de litiges.

Pas que, pour l’alliance: l’adoption d’une approche inclusive Reste un aspect phare de la reconnaissance équitable des mères célibataires et de leurs enfants en tant que familles complètes, sans discrimination.

Ainsi, les enfants seront protégés de tout dommage socialen garantissant leur droit à la dignité, à l’identité et à l’égalité des chances, quelles que soient les circonstances de leur naissance.

 
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