tous les skieurs rêvent de briller sur la Streif

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Coupe du monde de ski alpin

Tout le monde, et surtout Odermatt, rêve de briller sur la Streif

Les courses de Kitzbühel suscitent toutes les envies. Tout le monde veut être le successeur de Cyprien Sarrazin dans la Mecque du ski.

Publié aujourd’hui à 20h38

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Quel skieur n’a pas pour objectif d’apprivoiser la Streif ? Le morceau induit une sorte de fascination collective. Ou peut-être est-ce simplement l’atmosphère de la station autrichienne qui rend les événements de Kitzbühel si spéciaux. Le super-G de vendredi attire déjà, la descente de samedi affole le monde entier. « C’est peut-être la plus difficile de la saison », concède Marco Odermatt depuis son hôtel autrichien, situé à quelques centaines de mètres de l’arrivée de la course.

Mythe : tu fais du ski alpinil y a du monde qui se bouscule à la porte pour remporter la victoire la plus prestigieuse du circuit. « C’est de la pure descente, un peu dangereuse, où il y a beaucoup de spectateurs et de stars à l’arrivée, apprécie Alexis Monney.

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L’envie de devenir l’un de ces héros du Streif se fait sentir. Les vainqueurs ont droit à leur télécabine, y compris les slalomeurs. Didier Cuche, Daniel Yule, Beat Feuz et bien d’autres Suisses ont laissé leur empreinte à Kitzbühel. Marco Odermatt j’espère être le prochain. «J’ai pris la cabane de Pirmin Zurbriggen pour m’entraîner», sourit le Nidwaldois. J’espère emprunter le mien l’année prochaine.

Et peut-être que les prochaines générations attendront de revenir avec « Odi ». Ou avec un autre Suisse qui aura marqué Kitzbühel de son empreinte. « Quand il y a la cabine d’un athlète qui vous plaît, vous pouvez attendre un peu pour l’avoir. C’est quelque chose qu’on ne ferait jamais dans une autre station», s’amuse Alexis Monney.

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Et il n’y a pas que cette marque. La cabane de départ affiche les visages des gagnants de l’année dernière. On y retrouve donc Cyprien Sarrazin, vainqueur des deux descentes en 2024.

Son absence provoque un vide, tant chez les Français que chez les amateurs de ski. “C’est étrange, car les Autrichiens adorent Cyprien”, déclare Xavier Fournier, responsable du groupe vitesse des skieurs français. Ils m’ont tous parlé de lui, étant vraiment tristes qu’il ne soit pas là.

Cette tristesse n’empêchera pas les skieurs de prendre tous les risques pour être les héros du week-end.

Rébecca García est journaliste à la rubrique sport. Titulaire d’un master en journalisme de l’Université de Neuchâtel, elle s’intéresse particulièrement au ski alpin et à l’économie du sport.Plus d’informations

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