Les magistrats, qui avaient brandi le drapeau de la lutte pour l’indépendance de la Justice, sont soudain devenus sans voix depuis que le nouveau pouvoir les a placés à des postes bien pourvus. Sinon, ils seraient certainement tombés à terre avant-hier, face à l’image de la Justice reléguée au second plan derrière l’Exécutif et le Législatif. Car ils n’auraient pas permis à de hauts magistrats de jouer le « riti » en hommage non pas au président, mais simplement à un individu, qui se trouve être le Premier ministre. Au fait, où en est la réforme du Conseil supérieur de la magistrature ?
By Sucré-Salé
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