Publié le 16 janvier 2025 à 11h31. / Modifié le 16 janvier 2025 à 21h46
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Pas moins de 183 bateaux mais aussi des groupes comme Gazprom et Surgutneftegas, deux des principales sociétés russes d’hydrocarbures. La vague de sanctions américaines, annoncée vendredi dernier, vise à réduire encore les exportations russes de pétrole et de gaz et à étrangler encore davantage son économie, à quelques jours de l’investiture de Donald Trump. Ce fut une source d’émoi sur le marché pétrolier, le cours du Brent atteignant 80 dollars (il s’échangeait auparavant à 75 dollars) avant de se stabiliser mardi. Mercredi, Washington a encore élargi la liste des entreprises et des individus sanctionnés.
Depuis le début de la guerre en Ukraine en février 2022, les États-Unis ont soigneusement calibré leurs sanctions contre le secteur énergétique russe, pour éviter qu’elles ne provoquent une hausse trop forte des prix du pétrole et du coût du pétrole. essence. Fin 2022, Washington a convaincu ses alliés de fournir une voie légale aux entreprises occidentales pour manipuler le brut russe si le prix tombait en dessous de 60 dollars le baril. Cette mesure inédite, toujours en vigueur, visait à maintenir le flux de pétrole tout en réduisant les revenus de Moscou.
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