Le club de Venhuizen ne peut pas en rire et dépose une plainte auprès du KNVB. Il informe à son tour Smit que le syndicat plus jamais un métier fait sur lui. « Ils ne m’ont même pas demandé ma version de l’histoire, rien du tout. C’est dommage », dit maintenant Smit. « De Valken n’avait rien à redire du tout, car il n’y avait rien à redire sur toutes ces cartes. Et la durée du temps additionnel non plus. J’aurais facilement pu ajouter cinq minutes supplémentaires.
L’arbitre chantant fait l’actualité mondiale
Lorsque des images d’un arbitre chantant et faisant la fête fuient, Smit s’en va rapidement viral. Les journaux néerlandais et étrangers couvrent l’actualité, on peut l’entendre sur Radio 538 et le voir sur Hart van Nederland. L’arbitre chantant fait l’actualité mondiale : “J’ai vu des vidéos du Mexique.”Arbitre Smit‘, on m’appelle là-bas. Ça a l’air bien », sourit-il.
Un week-end après l’incident de Spierdijk, la vie de Smit semble soudain très différente. Les joueurs de De Valken 4 l’ont invité à se produire lors d’une foire. Le classique de Freek de Jonge « La vie après la mort » est bientôt rebaptisé « quatre fois rouge ». Et c’est ainsi que ça sonne dedans la fosse aux lions: “Il y a de la vie, il y a de la vie après quatre feux rouges”
Belgique