La situation de Logan Mailloux au sein du Rocket de Laval continue de se détériorer.
Alors que le défenseur de 21 ans traverse une période sombre sur la glace, les tensions entre lui et son entraîneur, Pascal Vincent, semblent atteindre un point de rupture.
Rien ne va plus pour les espoirs des Canadiens de Montréal, et tout porte à croire que des problèmes hors glace contribuent à leur déclin.
Tout s’effondre depuis le 15 novembre. En 18 matchs, il n’a inscrit qu’un but et deux passes décisives, tout en affichant une fiche de -9.
Sa performance offensive, autrefois un point fort, s’est effondrée et son impact global sur le jeu est devenu pratiquement inexistant.
Sa rétrogradation au sein de la deuxième unité en avantage numérique n’a fait qu’alimenter les doutes quant à son rôle au sein de l’équipe.
Ce qui devait être une saison de consolidation pour Mailloux se transforme en cauchemar, et le joueur semble de plus en plus isolé dans un milieu où il est censé progresser.
Le climat se dégrade également entre Mailloux et Pascal Vincent. Des sources proches de l’équipe rapportent que la relation entre le jeune défenseur et son entraîneur est tendue, voire conflictuelle.
Vincent, reconnu pour son approche exigeante et sans compromis, ne semble pas impressionné par l’attitude de Mailloux, tant sur la glace qu’à l’extérieur.
Mailloux éprouve tellement de difficultés qu’elle est parvenue aux oreilles de l’ancien vice-président de Quebecor Média, Sylvain Chamberland.
Ce clip vidéo est très inquiétant :
Quand les gens parlent de votre effondrement dans les grands cercles médiatiques, ce n’est jamais bon signe. D’autant plus que Chamberland est l’ancien directeur de l’information à TVA Sports et à -.
Le fait que Mailloux ne soit plus utilisé sur la première unité en avantage numérique pourrait être interprété comme un désaveu de la part de Vincent, un message clair pour encourager le défenseur à se concentrer sur les aspects fondamentaux de son jeu.
Mais pour Mailloux, cette décision est vécue comme une perte de confiance qui érode encore davantage son moral.
Il est difficile d’ignorer que des éléments extérieurs pourraient contribuer aux difficultés de Mailloux. L’organisation a émis des réserves par le passé quant à son style de vie hors glace, un aspect qui aurait pu être toléré tant que ses performances étaient à la hauteur.
Mais avec la baisse de sa production offensive et ses carences défensives, les critiques se font plus dures.
Mailloux devient-il un problème pour l’organisation ? Certains observateurs commencent à y croire, d’autant que le départ de Justin Barron aurait pu ouvrir la porte à un rôle accru dans l’organigramme des défenseurs droitiers.
Mais au lieu de saisir cette opportunité, Mailloux semble stagner, laissant planer le doute sur sa capacité à être à la hauteur des attentes.
Depuis que Mailloux a traversé cette période difficile, le Rocket de Laval affiche une fiche de 8-8-2. Si ce n’est pas catastrophique, il est évident que l’équipe est meilleure lorsque son défenseur numéro un joue à son plein potentiel.
Pour l’instant, ce n’est pas le cas, et cette régression pourrait avoir des répercussions plus larges pour l’organisation.
Logan Mailloux se trouve à un tournant critique de sa carrière. S’il ne parvient pas à inverser la tendance, la tension entre lui et Pascal Vincent pourrait atteindre un point de non-retour.
À un moment donné, Mailloux lui-même pourrait avoir envie de changer de décor, tout comme sa famille, qui semble déjà mécontente de la manière dont son rôle est géré.
Le Canadien, de son côté, devra évaluer soigneusement la situation. Si Mailloux ne démontre pas rapidement qu’il peut redevenir un atout majeur pour Laval, son avenir au sein de l’organisation pourrait être remis en question.
Pour l’instant, c’est à lui de se rétablir, de reprendre confiance et de prouver qu’il peut redevenir ce défenseur numéro un dont le Rocket et, éventuellement, le Canadien, ont désespérément besoin.
Car si cette situation perdure, la question deviendra inévitable : Logan Mailloux fait-il vraiment partie de l’avenir du Canadien de Montréal, ou son potentiel explosera-t-il sous d’autres couleurs ?
La relation entre Pascal Vincent et Logan Mailloux est de plus en plus tendue, et les explications officielles ne semblent qu’effleurer la véritable nature du problème.
Vincent a déclaré publiquement que la rétrogradation de Mailloux au sein de la deuxième unité en avantage numérique était une décision stratégique pour l’aider à se concentrer sur son jeu défensif.
Mais à mesure que l’on fouille sous la surface, il devient clair que cette justification masque des problèmes plus profonds, hors glace.
Interrogé sur la relégation de Mailloux, Pascal Vincent a répondu sans détour :
« Ce n’est pas le jeu de puissance qui va le faire entrer dans la LNH. Le but n’est pas de développer un joueur de situations particulières. Nous voulons qu’il devienne un joueur fiable de 200 pieds capable de défendre.
Un gars en qui les entraîneurs peuvent avoir confiance. Le jeu de puissance n’a presque aucune importance dans son cas. »
Ces mots ne racontent qu’une partie de l’histoire. Il est clair que Vincent cherche à souligner l’importance du développement global pour un défenseur.
Toutefois, plusieurs sources proches de l’équipe indiquent que cette décision cache des inquiétudes plus sérieuses quant à l’attitude et au comportement de Mailloux à l’extérieur de la patinoire.
Les tensions entre Vincent et Mailloux semblent provenir d’un mécontentement grandissant à l’égard de l’implication du défenseur à l’extérieur de la patinoire.
L’organisation, de Jeff Gorton à Kent Hughes, aurait été alertée par des comportements jugés incompatibles avec les normes professionnelles exigées au sein de l’équipe.
Ces problèmes incluraient un manque de discipline, des choix personnels discutables et une perception d’un joueur plus préoccupé par les distractions extérieures que par son développement.
Pascal Vincent, connu pour son approche stricte et sa volonté de maintenir un encadrement rigoureux, semble avoir voulu envoyer un message clair à Mailloux.
La rétrogradation vers la deuxième unité de l’avantage numérique serait alors moins une décision stratégique qu’une manière de lui faire comprendre qu’il doit aligner ses priorités sur celles de l’organisation.
Cette situation a amplifié les tensions entre Mailloux et Vincent. Le défenseur de 21 ans, frustré par la décision qu’il juge injuste, aurait exprimé son mécontentement en privé, mais ces sentiments ne sont pas passés inaperçus.
Mailloux est convaincu qu’il a été rétrogradé pour des raisons qui n’ont rien à voir avec sa performance sur la glace, alimentant ainsi son ressentiment envers l’organisation.
Le défenseur, autrefois une force offensive clé, semble désormais désorienté, tant sur la glace que dans sa relation avec son entraîneur.
Perdu sur la glace… et dans la vie…
La situation entre Vincent et Mailloux place l’organisation dans une position délicate. Kent Hughes et Jeff Gorton devront décider s’ils continuent à soutenir Vincent dans sa gestion impitoyable de Mailloux ou s’ils interviennent pour calmer les tensions avant qu’elles ne deviennent irréparables.
Le problème est double : d’une part, l’organisation veut maintenir une culture forte et disciplinée, mais d’autre part, elle risque de compromettre la confiance d’un joueur qui, malgré ses défis actuels, possède un immense potentiel.
Les tensions entre Pascal Vincent et Logan Mailloux ne montrent aucun signe d’apaisement. Ce qui semblait être une décision stratégique pour améliorer son jeu défensif s’avère être un problème bien plus profond.
Les attentes élevées de l’organisation envers Mailloux, combinées aux préoccupations hors glace, ont créé un écart qui pourrait devenir difficile à combler.
Pour l’instant, le Canadien joue un jeu risqué, en espérant que cette approche disciplinée portera ses fruits.
Mais à mesure que les tensions montent, une question devient inévitable : Logan Mailloux fait-il toujours partie des plans à long terme de l’organisation, ou ce conflit précipitera-t-il un départ qui pourrait laisser des regrets durables ?
Si Mailloux explose ailleurs… Kent Hughes et Jeff Gorton se blâmeront pour le reste de leur vie…
