Cet article a été traduit automatiquement par HIBAPRESS, la version arabe :
Heba Press – Abdel Latif Baraka
Heba Press a appris de ses sources qu’une réunion à huis clos a réuni le ministre de l’Agriculture avec certains représentants syndicaux, en présence de représentants d’institutions publiques et d’investisseurs du secteur agricole.
La réunion s’est tenue le week-end dernier au siège de l’Etat de la région Souss-Massa à Agadir.
La rencontre a été l’occasion de revenir sur le contexte des protestations des ouvriers agricoles de Chtouka Ait Baha, qui sont descendus dans la rue pour manifester contre leurs conditions, demandant au gouvernement d’améliorer leurs conditions de travail dans les fermes et usines d’emballage de la région. . Ils ont exprimé leurs revendications à travers un message de protestation, qui incluait des questions sociales et des conditions de travail difficiles.
Les représentants syndicaux invités à la réunion à huis clos, présidée par le gouverneur Amzazi et la gouverneure régionale Chtouka Ait Baha, ont discuté de la situation syndicale dans la région.
Il a été souligné que les protestations des travailleurs agricoles étaient dues aux mauvaises conditions de travail et que les syndicats n’étaient pas présents lors des manifestations.
Ils ont également expliqué que les manifestations étaient organisées par des journaliers sans aucune direction syndicale.
Dans le même contexte, les syndicats présents à la réunion ont déclaré que les investisseurs du secteur agricole de la région ont pris position contre la présence des syndicats dans les fermes et les usines de conditionnement.
Cela a aggravé la situation lors des récentes manifestations.
En revanche, les investisseurs du secteur agricole ont souligné les coûts supplémentaires qu’ils supportent, comme les coûts de transport des travailleurs agricoles.
Ils ont expliqué que le coût du transport de chaque travailleur est estimé à environ 40 dirhams, sans compter la dégradation des routes dans la région, qui rend difficile la conclusion de contrats avec les entreprises de transport.
Le ministre du Travail était absent de la réunion, poussant les syndicats représentés dans le secteur agricole à aborder d’autres questions comme le code du travail et la crise salariale dans le secteur agricole.
Les participants à la réunion ont convenu de fixer une autre date pour définir les thèmes de discussion, dans le but de trouver des solutions à la crise actuelle en renforçant le dialogue entre les professionnels du secteur agricole et les représentants syndicaux.
Les travailleurs du secteur agricole vivent dans un état de congestion dû aux mauvaises conditions de travail, en plus des bas salaires par rapport aux longues heures de travail qui dépassent dix heures par jour, malgré les conditions climatiques difficiles dans les maisons couvertes, ainsi que les conditions de transport inhumaines subies par ouvriers.