Les ouragans déconseillent une offre hostile à Necas

Les ouragans déconseillent une offre hostile à Necas
Les ouragans déconseillent une offre hostile à Necas

Depuis son arrivée au poste de directeur général des Hurricanes, Eric Tulsky est en pleine action ! Celui qui participe aux opérations de l’équipe depuis maintenant dix ans, à divers postes, compte quelques joueurs importants qui peuvent devenir libres comme l’air comme Jake Guentzel, Brett Pesce, Brady Skjei et Teuvo Teravainen.

Et surtout, il devra gérer le cas très médiatisé de Martin Necas, un autre élément marquant de l’effectif, qui désire un nouveau départ.

D’ailleurs, des sources ont rapporté à Pierre Lebrun qu’une équipe serait près d’une entente avec les Hurricanes et qu’au retour, il y a un choix de première ronde en 2024. Cela signifie qu’une transaction pourrait être annoncée dans les prochaines 48 heures avec un club qui aura accepté les exigences élevées d’Eric Tulsky.

L’initié croit également que les Sabres font partie de ceux qui ont démontré un très fort intérêt à l’égard de l’acquisition de l’attaquant. Si on ne regarde que les choix de premier tour, ce vendredi, Buffalo ne dispose que d’un seul choix, le sien, qui se situe à la 11e place.

Si ce scénario ne se concrétise pas, l’idée d’une offre hostile à Martin Necas commence à faire son chemin chez certaines équipes qui souhaitent accorder une rémunération moindre en échange des services de l’attaquant.

Une piste que le PDG des Canes ne conseille pas à son joueur et à son agent.

« Je ne vois pas en quoi une offre hostile a du sens pour le joueur. S’il veut partir, il doit nous laisser le contrôle (…) Il réduit le retour à un niveau où nous ne le laisserions pas partir. » – Eric Tulsky

Ce que veut dire le nouveau directeur général, c’est que, par exemple, la compensation pour une offre hostile à un salaire annuel de 9 millions de dollars donnerait un choix de premier tour, un autre au deuxième tour et un dernier au troisième tour.

Dans un cas comme celui-ci, les Hurricanes égaleront sans hésitation l’offre d’une autre équipe, car cette compensation est inférieure à ce qui est actuellement requis pour compléter une transaction.

Au fond, en plus de décourager ses homologues (et son joueur) de se lancer dans une offre hostile, Eric Tulsky envoie un message très clair : s’il n’obtient pas son prix, il gardera Martin Necas, quitte à ce que l’attaquant mette sur l’uniforme des Hurricanes à nouveau l’automne prochain.

 
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