Elle sera la future échevine du logement, de l’égalité des chances, de la jeunesse et de la petite enfance à Mons. Mais surtout, il servira de laboratoire au PTB qui obtient sa première position dans une majorité municipale en Wallonie.
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Journaliste au centre Powers
Par Stéphane Vande VeldePublié le 11/11/2024 à 17h19
Temps de lecture : 2 minutes
LL’histoire retiendra que la révolution du PTB a été initiée par deux femmes. L’une, Pauline Boninsegna, était leader à Charleroi et venait soutenir la petite équipe de négociateurs (où, soyons honnêtes, il y avait aussi John Beugnies, ancien leader de Mons et député wallon et Thibault Morel, leader à Mouscron), centrée autour de Céline De Bruyn, tête de liste à Mons et future échevine de la coalition qui dirigera la ville du Doudou. Deux femmes qui ont donné un autre côté, moins caricatural et radical, plus conciliant avec le PTB, négociant avec pragmatisme, ouverture et sens du compromis. Une nécessité pour accéder au pouvoir.
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