Des incidents opposent depuis le début de la semaine étudiants pro-palestiniens et étudiants juifs sur le campus de l’ULB. En fond, l’arrivée de l’intellectuel et ancien ambassadeur israélien en France Elie Barnavi invité par le recteur. Malgré tout, Annemie Schaus persiste : « Je ne céderai pas aux intimidations, aux pressions ou aux menaces. »
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Journaliste à la division Internationale
Par Ugo SantkinPublié le 10/05/2024 à 17h33
Temps de lecture : 2 minutes
J.Je suis profondément choquée que le mouvement de militants qui occupent depuis mardi un bâtiment de notre université veuille m’obliger à interdire (…) à Elie Barnavi de venir prendre la parole à l’ULB”, a exprimé Annemie Schaus vendredi midi. Dans un post sur le réseau social LinkedIn, la rectrice de l’université bruxelloise affirme faire l’objet “d’intimidations, de pressions et de menaces” de la part de manifestants pro-palestiniens souhaitant interdire la venue sur le campus de l’intellectuel et ancien ambassadeur d’Israël en France en juin prochain.
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