C’est à l’initiative du conseil municipal des aînés, parrainé par la municipalité, que ce film, réalisé et supervisé par Frédéric Brassard, a été créé.
Un aperçu de la ville
Après un long travail préparatoire, les prises de vue ont pu débuter avec l’utilisation d’un matériel performant et d’un drone pour réaliser de belles vues aériennes. Tour à tour, les vignes, les boutiques, les armuriers, le Pont du Diable, les tuileries, la chapelle Sainte-Catherine, les maisons vigneronnes, la maison Renaissance, l’ancienne auberge, l’hôtel de ville et bien d’autres ont été revus en grande partie. détail et avec de nombreuses anecdotes.
« J’ai pu m’appuyer sur des personnes passionnées qui m’ont apporté leurs connaissances très naturellement »
Suzanne Pommier, présidente de l’Association Patrimoine Vivant, présente dans plusieurs séquences du film, se réjouit. « Faire parler les archives, décrire les lieux, expliquer la vie des habitants à cette époque était passionnant. » Très à l’aise devant la caméra, l’ancien maire Gérard Laurent s’est montré intarissable sur les armoiries de Guillaume Revel ou sur l’église du XIIIe siècle.e siècle. L’histoire du Pont du Diable a été retracée avec la participation du conseil municipal de la jeunesse qui a visiblement apprécié les séquences réalisées avec un drone.
Éric Lardon, maire de Saint-Marcellin-en-Forez, s’est également montré satisfait du résultat : « Laisser une trace qui n’est pas élitiste, mais au contraire accessible à tous, est important et particulièrement pour les scolaires car c’est l’histoire. de leur village qui est raconté ».
Le mot de la fin revient au réalisateur Frédéric Brassard : « Faire un film sur une ville dont on ne connaît pas l’histoire n’a pas été une mince affaire. Heureusement, j’ai pu m’appuyer sur des gens passionnés qui m’ont très naturellement apporté leurs connaissances et l’envie de représenter fidèlement le patrimoine municipal.
Ce film documentaire d’une heure et quinze minutes a été présenté à la salle Aristide Briand devant un public nombreux. Il va désormais laisser une marque indélébile dans l’histoire de Saint Marcellin-en-Forez.