Décryptage – Au fil des années, le club texan a noué des relations privilégiées avec la France et le public hexagonal. Ce n’est pas près de changer…
« Les dieux du basket étaient très bons avec nous. » CEO des Spurs, le RC BUFORD ne cache pas sa joie de pouvoir compter dans ses rangs un talent générationnel comme Victor Wembanyama. Un joueur qui fait partie d’un héritage, d’une longue histoire entre le club texan et la France, une histoire d’amour qui dure depuis un quart de siècle. Et qui n’est pas près de se renier avec « Wemby ».
Les artisans de ce lien particulier ? Gregg Popovitch et Tony Parker. En poste depuis 1997, « Pop » a toujours attendu avec impatience l’international, bien avant le reste de la NBA. Visionnaire. « Il n’y a jamais eu l’intention de cibler particulièrement un pays plus qu’un autre, raconte RC BUFORD, directeur général des Spurs à l’époque. « Pop » connaît la valeur des multiples expériences que les joueurs vivent en jouant ensemble. Au fil du temps, nous avons constaté que cet engagement culturel nous permettait de grandir en tant que club…
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