Une séquence particulièrement émouvante. Léa Salamé et ses complices ont accueilli, samedi 12 janvier dans “Quelle époque !”, l’entrepreneur Thierry Breton, les comédiens Stéphane de Groodt et Charline Vanhoenacker, les actrices Clotilde Courau et Fatou Guinée, la journaliste Christine Ockrent, ou encore le navigateur Charlie Dalin. .
Une lettre remplie d’émotions
Vincent Lagaf’, également invité du talk-show de France 2, a eu droit à la lettre de Charlotte Dhenaux. Ce dernier a alors déclaré : «Franck, le premier détroit de votre mère biologique, comme une déclaration d’amour un peu tragique. Inspiré par Gaston, espèce de trublion Lagaf’. Plein de tatouages, comme un mur sombre est plein de graffitis. Pompier, téméraire, impulsif et soudeur. Au Club Med, vous êtes un organisateur bienveillant. Vous vous rockez pendant vos cours de danse classique, un demi-poumon plus léger, votre respiration reste énergique. Vous détestez les limites, provoquer l’inattendu et animez une émission spéciale intitulée « Tête dans le cul ». Faire rire pour rattraper le passé, attendre un je t’aime et compenser à nouveau».
Sous l’oeil bienveillant de Christophe Dechavanne, invité permanent de l’émission, l’humoriste a continué de s’adresser au présentateur de “Bigdil” sur RMC Story : “Quand dans l’attente, la tendresse est un fantôme, anesthésié le cœur sèche, de torpeur il prend l’arôme. Fan de Popin Pete, tu danses dans tes queues roses, c’est une belle couleur pour rehausser les névroses. Amoureux des chevaux, telle une révélation absolue, vous montez à cru sur le dos de votre ami Pélu. Vous perdez Gégé dans un bateau à Djibouti, vous l’homme qui murmurait à l’oreille de ses jet skis. Robuste, le faiseur d’anges ne peut pas vous démêler. Après tout ce temps, tu as toujours le trac, espèce d’aventurier. Fidèle à vos équipes, vous ne voulez pas décevoir. Merci d’être revenu, nous avions tous hâte de vous revoir».
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Après l’intervention de Charlotte Dhenaux, Léa Salamé a lancé sur le plateau de France 2 : «C’était émouvant, n’est-ce pas ?». Ce à quoi Vincent Lagaf’ a volontiers répondu : «J’ai dû attendre 40 ans de métier pour avoir un tel hommage».
Puremedias.com vous propose de découvrir cette séquence.
