Le patient contaminé par le clade 1b mpox est un « cas sporadique » et celui-ci, pris en charge par le CHU de Rennes, « ne présente aucun symptôme, n’a pas d’état grave », a déclaré à la presse Yannick Neuder en marge d’une conférence de presse. visite du site du CHU de Rennes.
Le ministre chargé de la Santé Yannick Neuder a assuré ce mardi 7 janvier à Rennes, où a été détecté le premier cas en France du nouveau variant mpox, qu’il n’y avait pas “pas besoin de s’inquiéter” sur la présence de ce virus.
Le patient contaminé par le clade 1b mpox est un « cas sporadique » et celui-ci, soutenu par le CHU de Rennes, “n’a aucun symptôme, ce n’est pas grave”a déclaré Yannick Neuder à la presse en marge d’une visite sur le site du CHU de Rennes.
« Vigilance et prudence »
Les autorités sanitaires ont été alertées le 2 janvier d’un cas potentiel de cette nouvelle souche du virus, anciennement appelée « variole du singe »et qui était “confirmé hier”a ajouté le ministre. Ce patient n’avait pas “n’a pas voyagé en Afrique centrale”, mais avait “J’ai cependant été en contact avec deux personnes revenant d’Afrique centrale”a indiqué le ministère dans un communiqué lundi soir.
Il ne s’agit pas du clade 1 classique, présent depuis des décennies en Afrique, mais d’un variant, le clade 1b, bien plus récemment identifié en République démocratique du Congo (RDC).
« Cela amène naturellement à la vigilance et à la prudence mais il n’y a pas lieu de s’inquiéter et c’est mon rôle de ministre de la Santé de rassurer puisque les choses sont sous contrôle, d’abord au niveau international puisque nous avons une veille internationale avec l’OMS et avec l’OMS. Centre d’études européen »a ajouté le ministre.
« Quatrième ou cinquième cas en Europe »
Selon Yannick Neuder, ce serait le “quatrième cas ou cinquième cas en Europe dont le Royaume-Uni” de cette nouvelle variante, tandis que le clade 2 affecte “environ 200 cas au ras du sol dans la métropole”.
“Mpox est une maladie qui se guérit d’elle-même, qui se guérit d’elle-même, qui se manifeste par des lésions cutanées au niveau de la paume des mains, de la paume des pieds, au niveau des parties génitales et qui entraîne ou non de la fièvre”a rappelé le ministre, soulignant que cette pathologie « peut poser quelques problèmes si les patients sont fragiles ».
Identifiée pour la première fois en République démocratique du Congo (RDC) en 1970, la maladie est longtemps restée confinée à une dizaine de pays africains. Mais en 2022, il a commencé à se propager au reste du monde, notamment aux pays développés où le virus n’avait jamais circulé.
France