« Google Earth. Luc Vervoort n’en est pas tout à fait sûr, mais c’est l’hypothèse qui lui semble la plus plausible : le cambriolage dont il a été victime était planifié, organisé depuis un écran. rapports Le matin. Dans la nuit du 20 au 21 décembre, ce colombophile de 70 ans a été réveillé par les aboiements de son chien. Trop tard, le mal était fait : une bonne douzaine de pigeons venaient de lui être volés.
Vervoort est loin d’être un cas isolé. « Ces deux derniers mois, il y a eu au moins douze vols. Mais peut-être beaucoup plus, car tout le monde n’en fait pas étalage. » estime Pascal Bodengien, le président de la Fédération Royale Pigeonneau de Belgique (RFCB) au Standard. « De toute façon, mon téléphone n’arrête pas de sonner. Les amateurs de pigeons sont inquiets. Dans l’industrie, tout le monde a peur d’être la prochaine victime. » il témoigne.
« Ces dernières années, nous constatons chaque hiver une augmentation des cambriolages. Mais cette année, la situation prend une tournure extrême.
Les deux hommes en sont convaincus : les malfaiteurs avaient bien pratiqué leur tour. Ils savaient quels pigeons voler et comment le faire.
Une vieille tradition
Sur les images de vidéosurveillance, Luc Vervoort remarque deux personnes, mais pas distinctement. Et si c’était arrivé
Belgique