Djibouti, le pari stratégique de la ; Télérama tacle Daoud et Sansal… Dans les coulisses de JDNews

Djibouti, le pari stratégique de la ; Télérama tacle Daoud et Sansal… Dans les coulisses de JDNews
Djibouti, le pari stratégique de la France ; Télérama tacle Daoud et Sansal… Dans les coulisses de JDNews

Lors de sa visite à Djibouti, les 20 et 21 décembre 2024, Emmanuel Macron s’est félicité de l’alliance solide qui se poursuit avec cet État clé de la Corne de l’Afrique, malgré le retrait de nombreuses bases françaises sur le continent. Sous la présidence d’Ismaïl Omar Guelleh, Djibouti fait figure d’exception grâce à sa stabilité politique et économique.

La joue gros : financement d’un nouvel aéroport international pour renforcer l’attractivité du pays, coopération spatiale ambitieuse… Autant d’initiatives destinées à consolider la position stratégique de Paris en Afrique de l’Est. Une tentative assumée de redéfinir l’influence française sur un continent en pleine restructuration.

CV: Christelle Morançais, president of the Pays de la Loire region

> 1975 : elle est née dans la Sarthe et a fait toute sa scolarité au Mans. Après avoir obtenu un BTS en action commerciale, elle a travaillé pendant vingt ans dans l’immobilier.

> 2009 : elle crée sa première entreprise, une agence immobilière, avant d’en fonder une seconde avec son mari, rencontré lors d’une rencontre avec Alain Madelin en 1997.

> 2015 : elle mène la liste de droite dans la Sarthe lors des élections régionales et devient vice-présidente des Pays de la Loire.

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> 2017 : elle s’est présentée aux élections législatives dans la Sarthe, mais n’a pas été élue par 47 voix. En octobre, elle succède à Bruno Retailleau à la tête de la région Pays de la Loire, contrainte par la règle du cumul des mandats.

> 2024 : dans un contexte de restrictions budgétaires, elle adopte un budget régional axé sur les économies, réduisant notamment les subventions culturelles, ce qui fait d’elle la cible numéro un de la gauche.

Coup de griffe : quand Télérama s’en prend à Daoud et Sansal

Dans un article consacré à Boualem Sansal et Kamel Daoud, le magazine – de gauche – télérama n’a pas hésité à qualifier les deux écrivains de « héros de la droite et de l’extrême droite », insinuant qu’ils n’y voyaient pas d’inconvénient. Une attaque malvenue contre deux figures emblématiques de la lutte pour la liberté d’expression et de la critique des dérives islamistes.

Naturalisé français, Kamel Daoud a remporté le prix Goncourt 2024 avec Houris, tandis que Boualem Sansal a été distingué en 2015 par le Grand Prix du roman de l’Académie française pour 2084 : La Fin du monde. Des distinctions littéraires de haut vol, mais clairement pas du goût de télérama. Pendant ce temps, Sansal reste emprisonné en Algérie.

En Occident, la Renaissance et la main droite

La période de vote du budget a scellé des alliances inattendues à l’Ouest. En Pays de la Loire, le budget régional, critiqué par la gauche, a été adopté par la droite grâce aux voix du groupe de François de Rugy (Renaissance). A La Baule, le maire LR Franck Louvrier a également pu compter sur le soutien des élus Renaissance pour faire adopter son budget. Vers une recomposition en vue de 2027 ?

France

 
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