VIDÉO. Elle sillonne les routes de Haute-Savoie à bord de son « hair truck », un salon de coiffure ambulant

VIDÉO. Elle sillonne les routes de Haute-Savoie à bord de son « hair truck », un salon de coiffure ambulant
VIDÉO. Elle sillonne les routes de Haute-Savoie à bord de son « hair truck », un salon de coiffure ambulant

Amélie est coiffeuse, non pas dans un salon traditionnel, mais à bord de son camion aménagé en salon de coiffure. Une alternative qui permet plus de liberté et un contact privilégié avec ses clients.

Les essentiels du jour : notre sélection exclusive

Chaque jour, notre rédaction vous réserve la meilleure actualité régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en contact avec vos régions.

Télévisions utilise votre adresse email pour vous envoyer la newsletter « Les incontournables du jour : notre sélection exclusive ». Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien présent en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Première publication de l’article le 28/05/2024

« Avoir un hair truck, c’était mon rêve… J’aime l’idée d’être libre, de pouvoir me déplacer et d’avoir plusieurs endroits différents, c’est plutôt cool. Et en plus, si la vue ne me plaît pas à un endroit, je peux la changer, c’est l’avantage », plaisante la jeune femme.

Au volant du camion se trouve Amélie, la coiffeuse de 26 ans. Ce jour-là, elle se rend à Combloux, en Haute-Savoie, où elle passera la journée.

« L’idée initiale était d’apporter quelque chose de nouveau, quelque chose qui change, que nous n’avions jamais vu auparavant. Honnêtement, les salons de coiffure ne manquent pas dans le coin, mais il y a des moments où même quelques villages où il n’y en a pas et c’est vrai que c’est un peu animé.

Son idée : proposer exactement les mêmes prestations qu’un coiffeur traditionnel grâce à un espace de 9 m² : « Tout est fixé au sol. Comme ça, quand je roule, il n’y a pas de mauvaise surprise, je mets des crochets pour que les placards ferment bien. Au début, je n’y avais pas pensé et je me suis retrouvé avec toute ma vaisselle par terre, en mille morceaux.

Le lieu est bien plus petit qu’un salon de coiffure, mais permet plus de confidentialité : « Il n’y a que le client et moi, c’est donc un salon intime. Les clients deviennent presque des amis.

Romain, cinq ans à peine, n’accepte que les ciseaux d’Amélie : « C’est pratique, c’est à côté de la maison et Romain adore le fait que ce soit dans un camion »confie Pauline, la maman du petit garçon.

La jeune femme reçoit entre six et huit clients par jour dans trois communes de Haute-Savoie.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Un Canadien accusé de trafic de cocaïne veut être libéré sous caution
NEXT Une marche blanche pour sauver Rillette, le sanglier menacé d’euthanasie