À la recherche de nouveaux talents pour renforcer son secteur défensif, le Paris Saint-Germain a coché le nom de Tomas Araujo. Sa récente visite dans la capitale parisienne a d’ailleurs relancé les rumeurs.
Ce n’est plus un secret : le secteur défensif du Paris Saint-Germain doit être revu pour espérer pouvoir retrouver la sérénité à l’arrière. Plusieurs joueurs n’ont pas le niveau attendu dans cette partie de l’effectif, à l’image de Milan Skriniar et Lucas Beraldo. De plus, avec le retour attendu de Presnel Kimpembe, il devient urgent de trouver un nouveau défenseur central capable d’assumer pleinement un rôle important dans la formation de Luis Enrique. Plusieurs noms sont récemment ressortis dans la presse, mais celui de Tomas Araujo revient avec insistance. Ceci, malgré son prix exorbitant de 100 millions d’euros. Et ce n’est pas sa récente visite à Paris qui calmera les rumeurs.
João Neves tente de convaincre Tomas Araujo
Pour fêter la nouvelle année, João Neves, le jeune milieu de terrain du Paris Saint-Germain, s’est rendu sur les Champs-Élysées avec ses proches. C’est lors de ce moment de joie qu’il a été aperçu avec… Tomas Araujo. Son ancien coéquipier au Benfica Lisbonne était de passage dans la capitale parisienne pour fêter le passage à 2025. Une photo publiée sur les réseaux sociaux qui ravive évidemment l’incendie. Était-ce l’occasion pour Neves de vanter les mérites du PSG afin de lui donner envie de le rejoindre à Paris ? Il faut dire que la capitale française est toujours une destination magique pour passer quelques jours, notamment avec ses illuminations lors des fêtes de fin d’année.
Pour rappel, la clause libératoire de Tomas Araujo s’élève à 100 millions d’euros depuis la signature de son nouveau contrat mi-décembre. Avec une concurrence féroce de la Premier League sur le dossier, le Paris Saint-Germain devra sans doute tout mettre en œuvre pour s’offrir le défenseur central de 22 ans. Une situation que connaît bien la direction parisienne, qui a déjà su sortir le chéquier par le passé lorsque cela était nécessaire.
