la comédie musicale présentée pour la deuxième partie de la saison

la comédie musicale présentée pour la deuxième partie de la saison
la comédie musicale présentée pour la deuxième partie de la saison

Ce n’est généralement pas un genre artistique très présent sur les scènes de théâtre. Mais pour cette deuxième partie de la saison culturelle, à raison d’une date par mois, au minimum, elle est à l’honneur chez Georges-Leygues. En cinq spectacles, la comédie musicale sera présentée sous toutes ses formes musicales et scéniques.

En janvier, le théâtre propose deux animations radicalement différentes. Avec « Virginie et Paul » (mardi 14), l’humour et l’absurde prédominent. Une pièce où tous les personnages s’appellent Virginie ou Paul ; ce qui ne manque pas de créer de multiples confusions tout au long du récit dans une ambiance Sacha Guitry. Sur scène, deux comédiens interprètent l’intégralité de Paul et Virginie et chantent accompagnés de trois musiciens (piano, contrebasse et sax).

Rock et Charleston

Georges-Leygues vivra une toute autre ambiance lors du « Music-hall Colette » (vendredi 17 janvier). Ce tête-à-tête, mené par Cléo Sénia, retrace la vie de Colette, de ses escapades à Pigalle et au Moulin-Rouge, jusqu’à ses obsèques nationales.

En février, le conte est à l’honneur avec « Les Chaussons Rouges » (dimanche 16), inspiré d’Andersen. A l’écriture et à la composition, on retrouve un certain Marc Lavoine, qui a modernisé cette histoire d’une jeune fille rêvant d’être célèbre. En mars, « Hedwige et le pouce en colère » (samedi 15) promet un joli détour par Broadway, où la version américaine a fait un triomphe. La pièce se détache cependant des fondamentaux de la comédie musicale new-yorkaise, en puisant dans le registre rock et narrant le parcours d’une chanteuse transgenre venue de l’Est pour réussir sa vie aux Etats-Unis.

Enfin, en avril, « Victor Lustig ou l’apologie de l’arnaque » (samedi 12), s’inspire d’une histoire vraie, celle de Victor Lustig, qui vendit, dans les années 1920, deux fois la Tour Eiffel. Les codes de Broadway sont très présents, avec le charleston, les claquettes et le music-hall des années folles.

Nous n’oublions pas

Dans ce second semestre riche en propositions – près d’une quarantaine – la rédaction a sélectionné trois autres dates à ne pas manquer. Le premier est « Le repas des bêtes sauvages » (jeudi 23 janvier), une pièce de théâtre à trois Molières, un huis clos du temps de l’occupation à l’histoire alléchante. Un dîner entre amis tourne au drame après l’intervention de la Gestapo, qui réclame deux otages parmi les neuf convives. Le groupe aura l’heure du repas à choisir. Autre pièce molierisée dont le titre inspirera les cinéphiles : « Le Cercle des poètes disparus », qui est, pour la première fois, adapté sur scène en (jeudi 20 février). On retrouve les répliques cultes du film avec, dans le rôle du légendaire professeur Kipling, Stéphane Freiss. Enfin, pour terminer la saison en beauté, Michel Jonasz (samedi 31 mai) sera au piano voix, avec son incontournable compagnon de jeu, Jean-Yves D’Angelo.

Informations et réservations sur le site de la Ville www.ville-villeneuve-sur-lot.fr

 
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