“Nous avons au moins deux situations où nous aurions dû être plus efficaces et marquer”, regrette le RC Vannes avant Noël

“Nous avons au moins deux situations où nous aurions dû être plus efficaces et marquer”, regrette le RC Vannes avant Noël
“Nous avons au moins deux situations où nous aurions dû être plus efficaces et marquer”, regrette le RC Vannes avant Noël
Top 14 (12th day). RC Vannes – Aviron Bayonnais: 21-27

Il restait une vingtaine de mètres ! Une nouvelle fois, le RC Vannes a échoué de peu, avec, compte tenu du scénario du match, une balle de match presque miraculeuse entre les mains. C’est juste après le deuxième essai de Vannes, celui de Leafa presque sur le gong qui offrait un ultime espoir de réussite (21-27 80′). La Rabine était en apnée. Gorissen et ses hommes reculèrent de 50 mètres. Avant de se heurter une dernière fois à la puissante défense visiteuse, en toute logique.

« J’ai senti mon équipe parfois timide et dépassée par l’intensité des contacts »

Pourtant, face à l’Aviron Bayonnais, le RC Vannes avait une occasion en or de se remettre dans la course pour conserver sa place. Les Bleus et Blancs l’ont raté. C’est bien simple, face à une équipe, cinquième du Top 14 et numéro un en termes d’occupation du terrain, ils ont clairement dominé la première période… conclue sur le score de 11-21 alors que les visiteurs étaient pénalisés. une bonne dizaine de fois (pour une moyenne habituelle de onze par match !) et passé 20 minutes en infériorité numérique. «C’est un miracle de gagner en étant sanctionné 24 fois», a déclaré Maxime Machenaud. Nous étions ultra réalistes ! « .

Pas les Vannes qui, malgré 64% de possession de balle, ne sont pas parvenus à boucler ce match comme ils l’auraient souhaité. « Nous avons au moins deux situations où nous aurions dû être plus efficaces et marquer, l’une en première mi--, l’autre en seconde. Notre réussite n’a pas été très bonne. Leur défense, oui, a expliqué Jean-Noël Spitzer. Mais ce fut un match lent, très haché avec beaucoup d’arrêts de jeu, d’arbitres vidéo, de problèmes de micros. Et on n’a jamais réussi à rentrer dans notre match. J’ai senti mon équipe timide parfois et prise par cette intensité de contact ou ce manque de rythme. »

« Il nous manquait du talent, de la rapidité, de l’énergie »

En seconde période, le RCV a tenté de mettre le feu, notamment dès l’heure de jeu. Mais l’étincelle n’a éclaté que dans les dernières secondes, peu après que Bayonne soit passé tout près du bonus offensif. « Nous avons pu revenir. Les garçons ont fait preuve d’abnégation. Mais nous avons manqué de talent, de vitesse, d’énergie”, a commenté l’entraîneur vannais.

Reste que ce n’est pas la première fois cette saison que les Vannais peuvent avoir des regrets. Bien sûr, l’effondrement contre Bègles-Bordeaux (29-0, 35′ ; 29-37 au final) reste dans les mémoires, mais on se souvient aussi du court revers, toujours à La Rabine contre le Racing 92 (24-27). , voire les trous d’air, qui n’ont pas permis l’exploit comme au Stade Français (34-31). Jean-Noël Spitzer a préféré voir le verre à moitié plein : « Perpignan, à leur première accession, ils n’avaient pas gagné un match à Noël. Je pense qu’ils n’ont toujours pas gagné un match de Challenge Européen. Alors, nous avons fait des choses. Et aujourd’hui, nous ne sommes pas éliminés. Nous devons être meilleurs. Pendant 80 minutes et à 23 ! »

 
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