Pourquoi avoir choisi Saint-Cyr ?
Pour le volet coopératif entre la France et la Belgique au sein, entre autres, du projet CaMo [qui vise à créer des compagnies belges et françaises totalement interchangeables, ndlr]. Je voulais aussi expérimenter la vie dans l’armée française.
Votre quotidien à l’Académie Royale Militaire était-il différent de celui-ci ?
C’est très similaire. Que ce soit à l’Académie Royale Militaire ou à Saint-Cyr, on apprend tous à devenir officiers de l’OTAN. Cette vie militaire me convient bien : elle est simple, sportive et rigoureuse.
Que retiendrez-vous de cet échange académique ?
La France étant un pays voisin avec lequel nous partageons une de nos langues nationales, nous avons été accueillis comme si nous étions cousins ! Mon meilleur souvenir restera le séjour lui-même. Mais mon plus grand défi a été d’obtenir mon permis de parachutisme. Tu devais quand même sauter de l’avion [rires].
Quels conseils tes parents t’ont donné avant de venir ?
Travailler dur, avancer pas à pas sans vouloir viser trop haut, trop vite et rester humble.
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