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Trois semaines après les 135 premières suppressions de postes, un nouveau secteur du sidérurgiste doit présenter mercredi un nouveau plan social, selon nos informations. Encore une mauvaise nouvelle dans un secteur industriel en souffrance en Europe.
Alors que nous nous rendions fin novembre sur le site ArcelorMittal de Reims, en grève après l’annonce fin novembre de 135 postes, un élu prophétisait : « Nous nous attendons à d’autres annonces majeures et à un désengagement mondial. Cela va avoir un effet boule de neige. Malheureusement, elle devrait avoir raison. Libération révèle ce lundi 16 décembre que 28 nouvelles suppressions de postes à Strasbourg (Bas-Rhin) et Valence (Drôme) doivent être annoncées mercredi dans la branche Distributions Solutions, selon les élus et la direction d’ArcelorMittal. Au total, 161 postes sont désormais en danger dans le groupe, sans compter la suspension fin novembre des projets de décarbonation chez ArcelorMittal Dunkerque, pourtant indispensables à la survie du site après 2030.
« Faire face [nos] difficultés, ArcelorMittal Distributions Solutions France envisage d’agir sur ses outils nationaux et de réorganiser son réseau d’agencesjustifie la direction à Libé. Le projet prévoit un redéploiement vers les agences voisines du
