DES ÉMOTIONS INOUBLIABLES POUR LE CLUB DE TRIATHLON DE BESANÇON – .

DES ÉMOTIONS INOUBLIABLES POUR LE CLUB DE TRIATHLON DE BESANÇON – .
DES ÉMOTIONS INOUBLIABLES POUR LE CLUB DE TRIATHLON DE BESANÇON – .

Photos : Paris 2024 / Guillaume Ruchaud / SIPA PRESS

Pour la première fois dans l’histoire des Jeux, chaque jour du relais de la flamme olympique, des relais par équipes de 24 personnes sont organisés pour diffuser l’énergie du sport et du travail d’équipe sur tous les territoires.

A l’instar du Triathlon de Valence, le Triathlon de Besançon a fait partie des heureux élus. Le président du club doubiste, Loïc Geschwine, nous raconte cette expérience inoubliable dans l’interview qui suit.

Comment s’est déroulée l’opération ? Est-ce que tout s’est bien passé ? Avez-vous une ou deux anecdotes à nous raconter ?

Après 2 répétitions sur des sites plus courts que le parcours officiel du D-Day, il a fallu prendre nos repères sur l’emplacement précis à 2h du matin après avoir installé les mini-parcs de transition et le balisage des lieux.

Après une dernière répétition, les athlètes ont reçu leurs uniformes. L’excitation de se lancer dans la vraie vie galvanise tout le monde. Nous avons la chance d’avoir une torche en main pour prendre des photos avec nos familles et les autres athlètes non-sélectionnés.

Le scénario prévoit une transmission de la flamme de main à main par les 24 relayeurs de l’équipe avant le passage final. Dans notre relais, il y a eu une transmission entre père et fille et une entre père et fils, c’était un moment très émouvant et surtout une très belle symbolique de transmission.

Personnellement, en tant que président, je souhaitais rester en dehors du relais pour laisser le plus d’espace possible aux athlètes, mais j’ai vécu beaucoup d’émotion par procuration en suivant mon fils tout au long du parcours.

Ce fut un grand moment universel avec tous les athlètes du même niveau, qu’ils soient jeunes, adultes, hommes, femmes, valides ou handicapés.

Ils ont vécu un tel événement qu’ils ont tous eu du mal à se quitter après le passage, voulant rester sur leur « petit nuage ».

Les porteurs du flambeau ont-ils ressenti une certaine pression avant le début de l’opération ? Qui vous a transmis la flamme ?

Oui, pleinement, une grande responsabilité pour exécuter parfaitement la chorégraphie représentant nos trois sports.

Nos relayeuses de transition, Véro et Sosoye, ont eu leur cardio au plus haut en prenant en charge la flamme, tandis que notre meilleur jeune athlète du moment a abordé le premier passage de la flamme avec un immense sourire représentant toute la joie du temps présent.

À qui as-tu passé le flambeau ?

Alexandre Pasteur, journaliste à France Télévision, nous a passé le flambeau et nous l’avons passé à Joey Cachat (animateur périscolaire)

Quels cadeaux avez-vous reçus ?

Outre l’uniforme et le fait de vivre un moment unique, chaque relayeur a reçu une bague torche dorée dans un superbe écrin blanc.

Qu’avez-vous fait après la cérémonie ? Avez-vous assisté à l’allumage du chaudron en fin de journée ? Quelle personnalité a allumé le chaudron ?

Malheureusement, le temps de rangement du matériel et la densité de population en fin de parcours rendaient l’accès au chaudron difficile, le temps était trop court pour rejoindre le site d’éclairage. Le dernier relais de la flamme olympique s’est déroulé entre Michel Chapuis, vice-champion olympique de canoë aux Jeux olympiques de 1964 et Anaïs Bescond, la biathlète haut-juraise. C’est elle qui a allumé la vasque à la Gare d’eau.

Comment s’est passée la soirée ?

Fidèles aux valeurs du club, nous avons continué la soirée collectivement, en partageant un apéritif dînatoire sur une colline de Besançon, avec simplicité et convivialité.

Vous trouverez une vidéo qui immortalise ce moment en cliquant sur ce lien : https://drive.google.com/file/d/1kd0UELz0_pXwMOjGOc6cWtX5muADPvA-/view?usp=sharing

 
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