contre le grand projet de la Seine, ils s’opposent au cahier des charges environnemental

contre le grand projet de la Seine, ils s’opposent au cahier des charges environnemental
contre le grand projet de la Seine, ils s’opposent au cahier des charges environnemental

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Éditorial La République de Seine et Marne

Publié le

28 novembre 2024 à 12h00

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20 novembre 2024, populaires, propriétaires de parcelles de peupliers situés sur le tracé du projet d’élargissement de la Seine, réunis en Seine-et-Marne pour discuter de l’évolution du dossier. En avril 2024, ils avaient déjà alerté la population sur ce projet déclaré d’utilité publique en 2022. Devrait voir le jour d’ici 2027 entre Bray-sur-Seine et Nogent-sur-Seine (Aube) pour faciliter le passage de plus grosses barges et développer l’activité économique de la région, ces dernières vont selon eux impacter leurs terroirs et perturber la faune et la flore locales.

Obligation d’indemnisation et alternatives à la compensation

” Dans transformer 76 hectares de peupliers dans les prairies humides, faune et la flore sera perturbée, explique Marc Béatrix, président de l’association. Cela induit d’une part une obligation de compenseret d’autre part îles de sénescenceà savoir zones volontairement abandonnées à un évolution spontanée de la natureafin de permettre au survie des espèces dépendantes de ces environnements. »

Dans l’attente des autorisations environnementales nécessaires, qui devraient être délivrées en 2027, le projet de quatre ans ne devrait pas commencer avant 2028. Une échéance dont souhaitent profiter les opposants au projet.

« Nous avons pu constater que les îlots de sénescence proposés je n’ai pas pas les bons critèresspecifies Gaël Legros, director of the national forest property center Île-de-, Center, Val de Loire. We therefore proposed to VNF (Voies navigables de France, editor’s note), project leader, spécifications environnementales avec mesures alternatives à la compensation. »

« Les producteurs populaires n’ont rien à signer ! »

Cette dernière prend en compte le respect des dates d’intervention pour la taille,disposition des distances de plantation ou même le respect de ces milieux sensibles.

« Un autre problème se pose : l’Agence de l’Eau a acheté des terrains il y a quelques années. Ils sont désormais abandonnés et ne serviraient pas à dédommagement, indique Marc Béatrix. Nous sommes donc ouverts à la discussion, mais pour l’instant il ne se passe rien… »

En attendant, le les propriétaires sont régulièrement contactés par VNF, qui les propose signer des engagements à propos de leurs complots : « Nous leur demandons de ne rien signer jusqu’à ce que la situation évolue dans le bon sens ! », conclut Marc Béatrix.

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