Une voie sur quatre vraiment endommagée
• Origines. – Ce pont date de 1953. Il s’agit d’une structure métallique de type poutres latérales, sur laquelle reposent des dalles en béton armé. Nous surveillons notamment les signes d’infiltration, de corrosion, d’oxydation et de vieillissement du béton armé.
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• Le constat. – Les experts se sont rendus sur place le 20 novembre. Les dégâts les plus importants se situent sur la travée rive gauche, côté Richemont. Le béton et l’acier sont très endommagés. Les autres travées sont moins inquiétantes.
Portiques contre camions
• Les travaux. – Les quatre écoutilles seront réparées pour permettre la circulation exclusive et sécurisée des véhicules légers (VL) avant la fin de l’année. Un dispositif de filtrage sera installé aux deux extrémités du pont. Les travaux consisteront à raboter la surface de l’asphalte au niveau des trappes d’accès, à installer une plaque métallique armée, et à la recouvrir de béton avec un joint bitumineux périphérique pour assurer une bonne liaison avec la couche de roulement existante. Ces travaux seront réalisés par les entreprises Berthold et Jean Lefèbvre, à compter de ce lundi 2 décembre. Ils devraient durer toute la semaine. Ensuite, des portiques de limitation de gabarit seront installés les 9 et 10 décembre pour restreindre l’accès aux poids lourds.
• Réouverture. – Elle devrait avoir lieu le 12 décembre, pour les véhicules légers uniquement. Les poids lourds seront dépendants des résultats d’expertises complémentaires sur l’acier et le béton.