Brest s’attend à vivre un été inédit. Pour le club qualifié pour la première fois de son histoire en Coupe d’Europe, et qui plus est en Ligue des Champions, la gestion du mercato sera cruciale. La C1 est un enjeu important dans les négociations, et le directeur sportif Grégory Lorenzi a prévenu lors d’un entretien accordé à L’équipe mi-juin : « Nous allons essayer de rester fidèles à notre ligne de conduite habituelle. Il ne faut pas dévier et je préfère refroidir ceux qui rêvent de noms prestigieux. »
Une extension qui s’éternise
Si cette stratégie s’applique à la recherche de renforts, elle concerne aussi ceux déjà présents et aspirant à de nouveaux contrats. Alors que des discussions étaient en cours entre le Stade Brestois et Steve Mounié en vue d’une prolongation, les revendications salariales de l’attaquant auraient ralenti les discussions. En parallèle, l’ancien Montpelliérain serait en négociation avec un club turc.
Mounié vers Turquie
Selon la presse turque, Konyaspor aurait approché l’international béninois (45 sélections, 14 buts). Alors qu’un accord aurait été trouvé entre les deux parties, Mounié aurait revu ses exigences à la hausse, réclamant un salaire annuel de 2 millions d’euros. Le joueur de 29 ans aurait reçu une contre-proposition pour finaliser son transfert.
Après avoir joué en France (Montpellier, Nîmes, Brest) et en Angleterre (Huddersfield), l’avant-centre d’1m90 pourrait découvrir un troisième championnat de sa carrière. Pour le Stade Brestois, en cas de départ de celui qui a inscrit 6 buts en 32 matches de Ligue 1 la saison dernière, l’objectif sera de trouver un nouveau buteur en prévision de la riche saison qui attend les Bretons.
Mon action préférée ? Un doublé entre les bords de Garonne et les potreros du Río de la Plata. Supporter du TéFéCé et membre des Argentinos Juniors.
