Cela fait longtemps que vous n’avez pas assisté à une manche du WRC ?
C’est vrai que ça commence à remonter. Ma dernière participation remonte au Monte-Carlo 2016.
Continuez-vous à suivre ce qui se passe en WRC ?
Bien sûr ! Je suis toujours fan. S’il y a une discipline que je regarde, c’est bien le rallye. Je le fais plus que toute autre chose.
Envisagez-vous de revenir au rallye un jour ?
Pour le plaisir sans doute, mais pas dans un esprit de compétition. Quand je suis une course ou que j’étudie le calendrier, je me dis qu’il y a certaines épreuves qui ont l’air très sympas à disputer, mais je me rends compte aussi que cela représente beaucoup d’efforts pour s’y préparer. Peut-être faut-il le faire avec d’autres perspectives, plus comme un passionné qui vient et qui s’amuse ?
Actuellement, 9 constructeurs sont présents en WEC. Selon vous, que devrait faire le WRC pour attirer d’autres marques ?
C’est un sujet compliqué. Cela nécessite l’engagement de plusieurs parties et je ne suis pas sûr qu’une seule solution suffise. Je pense que le problème n’est pas nouveau. Quand je courais, il y avait déjà ce genre de questions. Les pratiques changent, les gens aiment voir différents sports et autres compétitions. Je continue de croire que le rallye offre quelque chose de spécial. Les constructeurs attirent les constructeurs et actuellement l’intérêt se porte sur le WEC. Cela dure depuis quelques années en WRC et en tant que fan, j’espère que la situation va s’améliorer… mais je suis très content de ne pas avoir à faire face à ce type de problème (rires).
