Formule 1. Pour Stefano Domenicali, patron de la F1, « Le Mans ? Trop de complications” – .

Formule 1. Pour Stefano Domenicali, patron de la F1, « Le Mans ? Trop de complications” – .
Formule 1. Pour Stefano Domenicali, patron de la F1, « Le Mans ? Trop de complications” – .

“J’ai rencontré Pierre Fillon (président de l’Automobile Club de l’Ouest) pour parler du Mans mais il y a trop de complications pour y amener la F1.” Dans les colonnes de L’équipe ce vendredi 28 juin, Stefano Domenicali a fait le point sur les chances de voir un Grand Prix de France retrouver une place au calendrier du championnat du monde de Formule 1. Le président de la F1 a fermé la porte à la Sarthe, sans que cela soit une surprise, et estime que le Paul-Ricard du Castellet reste la seule option.

« La F1 et la France ont du sens »

Pour Stefano Domenicali, au Paul-Ricard « Il y a des problèmes de logistique, des problèmes de circulation, mais si l’opportunité commerciale avec suffisamment de spectateurs se présente, pourquoi pas. Le circuit est probablement la meilleure et la seule possibilité dans votre pays. La F1 n’a plus mis les roues sur le sol français depuis 2022. « Je respecte la France, je comprends l’importance de votre pays dans l’histoire du sport automobile et je connais la passion de vos concitoyens pour la F1, mais je ne peux pas faire plus que dire : ma porte vous sera toujours ouverte pour discuter car La F1 et la France ont du sens.

Le Grand Prix de France a été remplacé par le Grand Prix de Las Vegas et son nouveau circuit urbain. En juillet 2023, Nice Matin révélait que le président Emmanuel Macron était favorable à un retour de la F1 au Castellet. « Soyez certains que je partage pleinement votre ambition. En effet, soulignez-vous, notre pays doit pouvoir, à l’image des autres grands événements sportifs internationaux qu’il organise chaque année, renouer avec la Formule 1, pour le plaisir de tous. C’est un enjeu pour l’attractivité de notre pays, le rayonnement de notre industrie automobile et l’innovation pour accompagner la décarbonation de ce secteur. » Reste à convaincre les partenaires économiques.

En avril, le quotidien Le monde a révélé qu’une enquête avait été ouverte sur les comptes du Grand Prix de France. La dette du Groupement d’intérêt public (GIP) GPF-Le Castellet, chargé de l’organisation et présidé par le maire de Nice Christian Estrosi, s’élèverait à 32 millions d’euros.

 
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