Crédit Agricole equips its Massy site – .

Crédit Agricole equips its Massy site – .
Crédit Agricole equips its Massy site – .
Une des DS 3 E-Tense disponibles en covoiturage pour les salariés du Crédit Agricole de Massy. (© IEHM / Flottes Automobiles)

Le 27 juin 2024, sur son site de Massy, ​​dans l’Essonne, le Crédit Agricole a lancé l’autopartage de six véhicules électriques, sa filiale Agilauto Partage. Ces véhicules sont désormais disponibles à la réservation pour les 1 400 collaborateurs travaillant sur ce site francilien. Il s’agit de l’un des plus grands sites du Crédit Agricole, alors qu’Agilauto Partage ne déployait jusqu’à présent ses services que dans les agences régionales du groupe. Pour marquer l’occasion, Agilauto Partage et le Crédit Agricole ont organisé une conférence de presse, au cours de laquelle Flottes automobiles était présent.

« Dans six mois, nous réaliserons un premier bilan de notre opération à Massy. En parallèle, nous lancerons un service d’autopartage similaire sur le site du Crédit Agricole de Roubaix, qui regroupe 1 000 personnes », nous a indiqué Olivier Rossinelli, PDG d’Agilauto Partage. A Massy, ​​les véhicules partagés, tous électriques et neufs, sont quatre DS 3 E-Tense cinq places (autonomie 400 km), une Peugeot E-Expert trois places (autonomie 330 km) et une Peugeot E neuf places. -Voyageur (autonomie 330 km). Trois personnes gèrent cette flotte d’autopartage. “Ils restent attentifs à la propreté du véhicule”, précise le gérant. Le véhicule est réservé grâce à une application mobile et le déverrouillage du véhicule réservé se fait également grâce à un smartphone.

Massy, ​​car-sharing “showcase” for Crédit Agricole

Vincent Carré, directeur des services de mobilité chez Crédit Agricole Personal Finance & Mobility, a expliqué que les 12 à 18 mois qui suivent le lancement de ce service sont dédiés à « l’appropriation » de l’autopartage par les salariés. « Une fois que le taux d’usage, c’est-à-dire le nombre de réservations par rapport au potentiel de réservations, atteindra 60 à 70 %, nous élargirons ce service d’autopartage avec davantage de véhicules », a assuré Vincent Carré. C’est en effet avec ce taux qu’il sera possible d’amortir un véhicule partagé qui coûte 1 300 euros par mois tout compris, et qu’il sera ensuite possible de l’assortir d’un véhicule supplémentaire.

« Massy est le plus grand site où nous déployons l’autopartage et il servira de vitrine à ce service », a souligné Vincent Carré. « Ce sera aussi l’occasion de voir comment les salariés réagissent face à un véhicule de neuf places que l’on voit rarement dans les flottes. L’objectif est ensuite de déployer l’autopartage sur d’autres sites du Crédit Agricole, à commencer par celui de Roubaix. »

Le 27 juin, le Crédit Agricole a également organisé une présentation aux salariés de Massy dans l’auditorium du site. L’autopartage de véhicules électriques permettra également aux salariés de découvrir cette motorisation. Le groupe forme les salariés qui s’apprêtent à louer un véhicule électrique partagé sur la boîte de vitesses automatique, le fonctionnement du véhicule électrique et la façon de le recharger.

Covoiturage pour usages professionnels et privés

Ces véhicules partagés sont destinés à un usage professionnel et privé. Toujours selon Vincent Carré, si le véhicule est destiné à des déplacements professionnels, le salarié facture alors le loyer en note de frais. Pour les déplacements privés, pas de note de frais. Quant aux montants de location, celui de la DS 3 E-Tense s’élève à 6 euros par heure, 15 euros par demi-journée, 10 euros par journée et 50 euros par week-end.

Pour l’E-Expert, utile notamment pour déménager ou transporter des marchandises, il faut débourser 25 euros pour une demi-journée, 20 euros pour la soirée, 45 euros pour la journée et 60 euros pour le week-end. Ce sera encore plus pour l’E-Traveller qui peut transporter des groupes de 9 personnes : respectivement 35 euros, 30 euros, 80 euros et 140 euros. A noter que le site de Massy dispose d’une borne de recharge de 7 kW par véhicule partagé. En revanche, la recharge en itinérance reste à la charge du salarié.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Conférence internationale à Agadir sur l’importance des sols dans le développement durable – .
NEXT un village entier dénonce sa conduite jugée dangereuse, le conducteur condamné